Vidéo: les discours de Serigne Saliou. Regardez!

Voici l’intégralité des discours de Serigne Saliou Mbacké. C’est un résumé d’une quarantaine de minutes sur différents thèmes qui ont marqué la communauté islamique et particulièrement aux disciples mourides. Admirez ces paroles de cette légende.

 

 

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4 commentaires

  1. Boy Baol Hommage à Serigne Saliou Serigne

    Yalla nanou la Yalla Fayal Mbacke Balla Da nga nioo Wétal Yalla Khamnako Man Boy Baol Suma Fata Li koo Bima ganéé nék xalé Ma niaw ZIAR sila nga tayé Sama BOPOU bi Di ma Nianal. 2007 Ba nha niou fiy Bayi Yalla Khamnani Dama Fogon Ni ADOUNA Dafay Toukki Bilahi Saama Khol Moo TOOY Yalla Nanou la Yalla Fayal DIARADIEUF SERIGNE SALIOU MBACKE

    Par: http://www.facebook.com/BoyBaol88/


    Saliou Mbacké, né à Diourbel en 1915 et disparu à Touba le 28 décembre 20071, est une personnalité religieuse du Sénégal. Il est le 5e khalife des mourides, bénéficiant d’une grande aura dans cette communauté et dans le monde musulman.


    Grand producteur, il a réalisé un énorme projet agricole (Khelcom) sur une surface de 45 000 ha. Il reprit de nombreux travaux de rénovations aussi bien internes qu’externes de la mosquée et la construction de l’université islamique qu’avait entamée son frère aîné Abdoul Ahad Mbacké.


    Il met en œuvre un plan de viabilisation de terrains d’environ 100 000 parcelles et un réseau d’électrification de la ville. De même, des canalisations ont été construites pour une meilleure évacuation des eaux de pluie.


    Ses œuvres[modifier | modifier le code] D’abord l’éducation fut son occupation continue et depuis fort longtemps ; ses daaras où les étudiants travaillent dans les champs éparpillés à travers le pays (Ngott, Ndiapndal, Ndiouroul, Ndooka…) datent de plus d’un demi-siècle. Et enfin Khelcom acquis par le sang de beaucoup de villageois le dernier établissement leur a ravi la vedette en raison de ses dimensions. Dans ses écoles, l’enseignement du Coran et l’éducation religieuse étaient associés au travail pour indiquer qu’il s’agissait d’activités inséparables. Serigne Saliou a fait du mouridisme une voie soufi connue actuellement à travers le monde entier.


    L’apprentissage du travail chez les jeunes leur confère la conscience qui permet à l’homme de s’accomplir, d’être utile à lui-même et à la communauté. Quant à l’éducation, elle a pour but dans ces daaras de faire connaître aux jeunes disciples le sens de la vie, les règles de comportement dans la société, les normes spirituelles et morales dont l’observation assure à chacun la sauvegarde de son humanité. L’accent est également mis sur les sciences religieuses car pour Serigne Saliou, la foi en Dieu est la principale dimension de l’homme. Cette entreprise d’éducation, qui s’adressait à des milliers d’élèves était entourée du plus grand soin de la part de Serigne Saliou qui y consacrait d’énormes ressources, donnant ainsi le signe d’un engagement personnel, profond.


    Notes et références


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