« Il y a une coïncidence troublante entre le procès de Sonko, sa caravane et les sabotages informatiques« , d’après Abdou Karim Fofana. Le Ministre Porte-parole du gouvernement, lors d’un entretien, ce samedi 27 mai, sur TV5, a été interpellé sur la Caravane initiée par Ousmane Sonko, au lendemain de son procès l’opposant à Adji Sarr.

Dans une logique de provocation…

Le ministre du Commerce, de la Consommation et des PME n’a pas raté le leader de Pastef qui, selon lui, « est dans une dynamique de provocation quotidienne des forces de défense et de sécurité. Il cherche à transférer un dossier judiciaire sur le terrain politique. Malheureusement, il utilise des jeunes qu’il pousse dans la rue, à provoquer les forces de défense et de sécurité… »

Sur la caravane de Sonko…

D’après Abdou Karim Fofana, « les caravanes sont réglementées au Sénégal. Il faut d’abord une déclaration et une autorisation administrative, ce qui n’est pas le cas. Nous ne l’avons jamais reçu et notre Code pénal est clair en son article 96. Nous notons que c’est des provocations. Ousmane Sonko cherche à provoquer les forces de défense et de sécurité (…) Depuis mars 2021, c’est 17 morts, aujourd’hui 18 morts dues à ses agissements irresponsables, lâches de sa part« .

Sabotage informatique…

Dernièrement, plusieurs sites du Gouvernement sénégalais ont été « attaqués » par des « pirates« . Un groupe qui se dit solidaire « des Sénégalais, de leurs droits à choisir librement leur président ».

Interpellé sur la question, le porte-parole du Gouvernement trouve une « coïncidence troublante entre le procès de Sonko, sa caravane, ses appels à l’insurrection, les menaces sur les magistrats, les insultes sur les guides religieux et aujourd’hui, ces sabotages d’infrastructures informatique de l’Etat… »

Sur ce, il promet une enquête afin de traquer toutes les personnes impliquées…

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Vidéo – Ces hommes que préfèrent les jeunes filles selon….

Dans l’émission « Waref » de ce mardi 18 septembre, relatant les cas de divorce au Sénégal, le chroniqueur Mamadou Ndoye Bane révèle que les jeunes filles n’aiment que ceux qui les torturent.