Au lieu d’envisager de rétablir le droit de douane sur le riz brisé, la denrée la plus consommée par les ménages les plus modestes, le gouvernement aurait pu exiger des importateurs la répercussion immédiate de la baisse des prix mondiaux sur le prix au kilo, tout en prolongeant la suspension jusqu’à stabilisation durable du marché.
Le riz brisé, pilier de l’alimentation populaire, mérite mieux qu’un simple ajustement comptable destiné à renflouer un budget alourdi par les dépenses de fonctionnement.
Un plan économique et social commence par des actes sociaux. Celui du régime actuel commence par une charge annoncée contre les plus précaires.
C’est une incohérence structurelle.
Ils s’apprêtent à rétablir la fiscalité populaire mais préservent les privilèges d’État.
Les fonds politiques restent intacts et les dépenses de prestige liées aux fonctions ne sont nullement remises en cause.
Malheureusement, le réflexe de prélever en priorité sur les ménages revient avec constance.
Thierno Bocoum
Président AGIR- Les Leaders
Waw thireno yawe tamitte fiscalité populaire loumoye signifié..bo continuer nii si lokhoye Serigne bara Ndiaye ghaye moudié mou sangatte la.wakhenalako nak..mouyéne Rabb mane liiii ndakaté
Dans des couloirs des palais dorés de la République philosophiquement laïque dite sénégalaise, on chuchote que le Faye et le Sonko veulent réaliser la plus grande réforme fiscale de l’histoire du Sénégal.
« Ca va faire mal ! »
Tiken Jah Fakoly
Ès que c’est obligatoire de tout maudire cette haine viscérale va vous exploser à la figure c’est pas bon Dara bakhoul
Les nouvelles autorités ne sont pas animées par les privilèges. Aussi même si c’était le cas c’est 10 fois mieux que de détourner les budgets votés pour le peuple