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  • Maimouna

    On s’aperçoit, au fil des années, que les fêtes religieuses n’ont plus de religieuses que le nom. C’est l’occasion de montrer, de frimer, de choquer, de parader (souvent à crédit…) et de selfiser dans un orgasme de vanité et d’orgueil toutes ces « formes » qui n’ont plus rien de naturel. Où sont les belles sénégalaises d’autrefois… de gros paquets de graisse malsaine, voilà ce qu’on expose. Allah doit être ravi du spectacle qu’on lui offre…

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