Supposée attaque contre les imams – Bijou Ngoné réagit : « Sénégal boulen ma yeungeul
Bijou Ngoné avait invité la semaine passée Serigne Dramé et Koukandé dans son émission « Confrontation ». Malheureusement, les deux marabouts avait décliné à la dernière minute.
Sur la Sen Tv, Serigne Dramé avait expliqué que Bijou Ngoné avait tenu des propos déplacés envers les imams.
Sur Snap visité par Senego, Bijou Ngoné a réagi aux propos du marabout sur la télévision de Bougane.
Regardez !
Sénégal daale moo neh. Cette bouffons représente quoi dans le pays ?? Jusqu’à se faire l’importance. Tu n’es pas une référence. Est-ce pece d’éléphantine
Khamadi rek gha def
MAK DOU REEW DAFAY DOF DAGUA BEEW REK MAIS BESS DINA ÑIEUW ÑIOU TAGGÉLA BOU BOBA DIAGUA KHAM DEUGUE LANMOY LEM SA GUÉNE TOOK SI YAW AK ÑIOU MELNI YAW DAGUÉNE BEEW REK
Cette grosse truie on lui accorde trop d’importance. Même les sandales des imams valent mieux que toi
Dévergondée ! Bougniou leu yeungueule nak ? Que peux-tu dire que tu n’aies déjà dit comme saletés
bijou hipopotame
Yow ferme Ta grande gueule imbecile bou mak tu defends tjrs les homos yena bok mbouss lesbienne de merde gorr bou la tak daw nakh beuguo gorr Boul gnou yeungueul fat bitch
????????????????
Au pays de la promotion de la médiocrité nul ne peut échapper aux dérives des guignols
danga réw teh je sais pas pourquoi tu est moche gros pas defess tu a pas de l’argent donc c’est lignorance je supose khamadi amoul ndiarigne niak jom
Bijoux sa kanam bi ngay saf mbaam khoukh ni. Ki nga niaaw rek doyoul
Bijou NGoné : quand ton père mariait ta mère l’imam a validé le mariage.
Quand ta mère t’a accouché, c’est l’imam qui a bénit ton prénom.
Quand tu te marirerais, c’est l’imam qui valide cette union.
Quand tu pourras , c’est l’imam qui dirige la prîere montuaire .
Penses tu que tes ingires retentirons jusqu’au jour de ta mort.
Tout çà, à cause des propriétaires de tv et de radios qui font la promotion de médiocres personnes, simplement grandes gueules, en leur confiant le micro et en braquant sur elles les caméras. Pauvres de nous !