Senego-TV-Affaire Taïb Socé : Les négociations sur la bonne voie…

Taïb Socé prêt à passer l’éponge. C’est du moins une révélation de Fadel Guèye. Le président du collectif pour la libération de Taïb Socé, lors d’un entretien avec senego, est revenu sa discussion avec le prêcheur qui est même prêt à inviter son plaignant dans son émission, à sa sortie de prison.

« Taïb Socé n’a jamais voulu de cette collecte…« 

« Taïb Socé n’est pas un commerçant. C’est peut-être parce qu’il était animé par une bonne volonté qu’il a eu ces déboires…« , selon M. Guèye qui regrette la seconde plainte qui lui a valu son retour en prison. « Oustaz ne veut pas qu’on se cotise pour sa libération. Depuis le début, depuis 2011. Il m’a dit : ‘Fadel, collecter de l’argent pour quelqu’un qu’on accuse à tort, c’est comme si j’étais coupable’… Il a toujours refusé. Cette fois, nous lui avons fait savoir qu’on ne peut plus rester les mains croisées…« , fait savoir le président du collectif pour la libération de Taïb Socé…

« Il y’a même un Guinéen qui m’a appelé, en pleurs pour me demander comment faire pour prendre la place de Taïb Socé. Même si on doit l’enfermer 100 ans pour que Taïb recouvre la liberté…« , témoigne-t-il.

Les regrets du plaignant…

« Je rappelle que c’était 160 millions. Mais le plaignant, quand j’ai discuté avec lui à plusieurs reprises, il m’a fait savoir qu’il a convaincu les arabes avec qui il faisait affaire. Maintenant, il lui ont pardonné les 60 millions et ne demandent que 100 millions. Je lui ai fait savoir que nous somme en train de collecter l’argent… Et tout ce que nous réussirons à collecter, nous le remettrons pour que Taïb Socé soit libre car il ne tire aucun intérêt à ce qu’il reste en (prison). Il a aussi fait un beau témoignage sur Oustaz Taïb Socé et m’a même demandé, une fois sorti de prison, de nous rencontrer chez Taïb Socé ‘parce qu’il était son ami et l’invitait dans des émissions…  »  « Je voudrais que tu fasses savoir à Taïb que ce n’ai pas que je suis méchant, mais ce sont les gens avec qui je travaille qui me fatiguent… », m’a dit le plaignant. Et quand j’ai rapporté les propos à Oustaz Taïb, il m’a rétorqué… »

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