Une mobilisation significative a eu lieu ce jeudi 30 octobre devant les locaux de la 7Tv. Journalistes, patrons de presse, acteurs de la société civile et responsables politiques se sont rassemblés à l’appel du Front pour la défense de la liberté de presse (Fdlp), une structure créée suite aux récentes interpellations des journalistes Maïmouna Ndour Faye et Babacar Fall.
Au cours de ce rassemblement, plusieurs figures du monde des médias ont pris la parole pour dénoncer ce qu’ils qualifient de menaces contre les libertés d’expression et de la presse. Mamadou Ibra Kane, président du CDEPS, a estimé que les arrestations, suivies de libérations sans incrimination, constituaient « un acte politique pour museler la presse ». Selon des informations rapportées par Sud Quotidien, il a ajouté : « aucune loi au Sénégal n’interdit de donner la parole à quelqu’un qui est poursuivi par la justice ». Il a également accusé le gouvernement de vouloir affaiblir économiquement le secteur en ne payant pas des sommes dues aux entreprises de presse et en ne distribuant pas l’aide à la presse votée par l’Assemblée nationale.
Le président du CDEPS a également évoqué une directive qu’il attribue au Premier ministre, Ousmane Sonko, demandant aux démembrements de l’État de résilier leurs contrats avec la presse privée. « Ousmane Sonko a eu l’outrecuidance […] de demander à tous les démembrements de l’État […] de résilier de manière unilatérale les contrats avec la presse privée », a-t-il déclaré, y voyant une volonté d’instaurer un « parti-État ».
Maïmouna Ndour Faye, directrice de la 7Tv, a également pris la parole. Elle a expliqué que son unique motivation en diffusant l’interview de Madiambal Diagne, qui fait l’objet d’un mandat d’arrêt international, était de permettre à l’opinion publique d’entendre sa version des faits. « Je n’ai jamais envisagé d’attenter à la sûreté de l’Etat », a-t-elle affirmé, précisant que le Code de la presse n’interdit pas un tel exercice journalistique. Suite à son interpellation et sa libération la veille, elle a néanmoins présenté ses excuses « si j’ai pu offenser les institutions ». Elle a par ailleurs contesté la légalité de la coupure du signal de sa chaîne par la Télédiffusion du Sénégal (TDS).
Plusieurs organisations de presse présentes ont réaffirmé leur volonté de dialoguer avec les autorités pour apaiser les tensions. Cette situation avait provoqué de vives réactions, notamment de la part d’organisations comme ARTICLE 19 qui avait qualifié les événements d’« attaque grave contre la liberté de la presse ».

 

En se présentant comme une victime, M. Kane cherche à détourner l’attention des vrais problèmes que sont les dérives de certains de ses confrères : chantages, pressions politiques, corruption et manque de déontologie. Sénégal sunu reew
C’est plutôt le contraire vous de la presse privée vous voulez que la liquidation des citoyens babacar fall et mouna ndir face sont tout sauf des journalistes ppop
Une presse à la solde de Maky Sall.
Personne n’oubliera le rôle de cette presse qui préférait mettre des dessins animés au moment où Macky matait le peuple
Svp organisez un mois sans presse le peuple qui vous a tourné le ne s’en portera que mieux
Gerer votre presse privee et laisser les Senegalais en paix. Les gens gere leurs entreprises de peches, d’electricite, de plomberie, de mecanique avec efficacite et ont ne les entend meme. Pourquoi l’etat doit vous donner ou vous financer? Di vous ne pouvez pas fonctionner ferme votre entreprise.
Vous n avez pas honte et certainement vous pensez que les senegalais sont amnésiques
C est regrettable de vous entendre parler de la liberté d expression. Il y a de cela quatre ans ou etiez vous?Du côté des voleurs des detourneurs des producteurs de conventions fictives de ceux qui vous regardaient détourner les impôts.
Oui supposés journalistes vous etiez du côté des meurtriers des assassins des opérateurs de rafles pour embastiller des citoyens sans dossier.
Au moment où les senegalais souffraient vous etiez en train de danser de chanter sur leur tombe.
Votre incapacité a développer une entreprise de presse à fait virer votre tournesol professionnel a la corruption a l argent facile .
D ailleurs en quoi vous etes utiles aux senegalais sur les plan de la communication de l information?Absolument rien de tout.Aucune spécialisation inculte nombreux parmi vous ils ont pénétré le métier sans bagages techniques ni professionnelles,recrutés a cause des relations extra professionnelles, fils de ,beau frère de,ami de …….C est ainsi que vos appareils sont devenus des appareils de propagande a la solde des corrupteurs
Vous n avez meme pas l air de personnes bien soignées,certains d entre vous au titre de cadre de presse ne peuvent meme pas s habiller correctement.
Sachez que le peuple continuera la lutte jusqu a ce que ce pays puisse avoir de veritables medias et journalistes comme L CI. BFM. RFI …etc
Donnons RV aux senegalais le 8,jour de référendum entre les délinquants opposants milliardaires et les incorruptibles
Un lache ce gars au cœur noir