Scandale du zircon : La GCO n’a jamais reversé de bénéfices à l’État du Sénégal
Exploitation du Zircon. Eramet-GCO, un scandale financier et environnemental qui dérange.
L’audit financier récemment annoncé par la Société des Mines du Sénégal (Somisen) s’annonce comme un tournant crucial dans l’examen des pratiques d’Eramet et de sa filiale Grande Côte Opération (GCO). Selon le quotidien Libération, depuis le début de l’exploitation du zircon au Sénégal, GCO, malgré la détention de 10% du capital par l’État sénégalais, n’a jamais reversé de bénéfices à ce dernier.
À la place, l’entreprise invoque des « dettes » invérifiables pour justifier des paiements dérisoires sous forme de redevances, bien loin des bénéfices réels générés par l’exploitation de cette ressource stratégique.
Pour maximiser ses profits tout en esquivant les obligations envers l’État, GCO a signé un contrat de distribution du zircon avec la société Emas, également contrôlée par Eramet. Ce stratagème permet à GCO de vendre le zircon à Emas pour trois fois moins que les prix du marché, laissant ainsi l’État et ses citoyens sans leur juste part des ressources naturelles.
Au-delà de ces pratiques financières douteuses, l’exploitation du zircon par GCO a des conséquences environnementales désastreuses. Les effets destructeurs sur les écosystèmes locaux, notamment les plages et les terres agricoles, suscitent une inquiétude croissante. L’impact sur la biodiversité et les conditions de vie des communautés voisines devient de plus en plus difficile à ignorer.
Mais dans quel type de pays avons-nous vécu jusqu’ici. Des étrangers viennent, pillent nos ressources, se font des milliards aussi facilement. Tout ceci n’est pas clair.
Non moi je dis qu’il faut exiger à toutes nos entreprises d’appliquer la gestion scientifique prévisionnelle rationnelle Ahlul BAYT AS PURS POUR une transparence réelle. Sans comptabilité prévisionnelle rationnelle il y’aura toujours des magouilles des détournements de toutes sortes dans nos entreprises privées ou nationales
Non. Il faut d’abord
1.recouvrer les montants du en reajustany prix et quantités vendues.
2. Nationaliser et encadrer l’exploitation.
C’est tout
Il faudra aussi foutre en prison les dirigeants de cette boite
C’est maintenant que vous le parlez ? Demandé à El Malick Ndiaye le Président de l’Assemblée nationale il travail là-bas pourquou il n’a jamais pippé un mots?
En tant qu’un simple employeur là-bas, il peut savoir si la société verse à l’État du Sénégal sa part , ce qui est une affaire étatique.
C’est tout
Je m’adresse urgemment à nos autorités. Cette société a failli .fermez la le plus rapidement possible au nom du peuple senegalais.pas de compromission
D’accord avec toi !