À l’occasion du Safar 2025, Pierre Sathiebo Ndiaye, fidèle catholique et chef de projet à l’entreprise BOS (Best of Service), a organisé un grand Safar pour ses employés majoritairement musulmans. Ce geste, salué par ses collaborateurs, illustre l’exemplarité du vivre-ensemble sénégalais.
Appréciant les valeurs du mouridisme, qu’il associe au partage et à la solidarité, Pierre Ndiaye a appelé à suivre l’exemple du fondateur de la confrérie, qu’il qualifie de référence universelle.
Ses employés ont témoigné de la sollicitude et de la bienveillance que leur patron leur éprouvent. Bien que n’appartenant pas à la même religion, ce dernier ne manque jamais de leur organiser des moments de communion et de recueillement lors des dates importantes dans leur religion.
Merci beaucoup Senego. Vous publiez et vous laissez bavarder les ignorants.
On verra bien comment se passera le jugement dernier pour les intolérants
L’islam est la religion de vérité, n’en déplaise aux mécréants.
« Sa Sainteté, la Sainte Vierge, m’a dit qu’avec la fin du vingtième siècle arrivera aussi la fin de l’ère des sciences.
Une nouvelle ère de la foi commencera sur toute la terre. La preuve sera faite que c’est Dieu qui créa le monde et l’homme. Ce sera le début de la fin de la science en laquelle les hommes ne croiront plus. Des millions d’humains se tourneront de nouveau vers le Christ et la puissance de l’Eglise sera plus grande que jamais.
La raison pour beaucoup d’hommes de se détourner des scientifiques sera l’attitude hautaine des docteurs travaillant à la réalisation d’une créature issue d’un croisement entre l’homme et l’animal. Les hommes ressentiront au plus profond de leur cœur que c’est là une chose injustifiable. Dans un premier temps, on ne saura contrecarrer la création de ces monstres, mais les scientifiques seront finalement chassés comme on chasse une horde de loups.
Au début du XXIe siècle, on assistera au choc des adeptes de Mahomet et des nations chrétiennes. Une terrible bataille aura lieu dans laquelle 5 650 451 soldats perdront la vie et une bombe très destructrice sera lancée sur une ville de la Perse (Iran).
Mais à la fin, c’est le signe de la Croix qui vaincra et TOUS les Musulmans » ( et non pas DES Musulmans ) « se convertiront au Christianisme. »
Cinquième prophétie de Bernarde Marie Soubirous alias sainte Bernadette alias sœur Marie-Bernard.
Le grand secret de l’islam
L’islam n’est pas le résultat d’une « révélation divine » ou de la seule prédication de Mahomet, mais celui d’un processus très long et très complexe de réécriture de l’Histoire. Il s’enracine dans des croyances apocalyptiques juives et chrétiennes recomposées par les chefs arabes et les califes pour justifier leur pouvoir « au nom de Dieu », établir le « règne de Dieu » et satisfaire leurs visées de domination politique. Cette découverte, déjà formulée par É.-M. Gallez dans sa synthèse Le Messie et son Prophète (2005-2010, Éd. de Paris), reste jusqu’à ce jour peu connue du public. Pourtant, quantité de recherches nouvelles sont venues la compléter, la préciser, l’approfondir voire la corriger à la marge depuis une quinzaine d’années : histoire, numismatique, épigraphie, codicologie, exégèse, linguistique, etc. Il manque cependant la plupart du temps à ces recherches leur mise en perspective globale. C’est ce à quoi prétend l’édition 2020 du Grand secret de l’islam : une perspective globale détaillant la formation de l’islam à partir des travaux variés de la recherche, dans tous les domaines, expliquée et vulgarisée à l’attention du grand public.
La Preuve du Coran ou la fin de l´islam
Ce petit livre est parfait. Il est plein comme un Åuf. Pas une phrase inutile. Ce n’est qu’un argumentaire. Il résume des années d’étude et mille raisons qui pourraient chacune être détaillée à l’infini. Il s’agit du Coran. Il n’en reste rien. Absolument rien. L’abbé Guy Pagès qui a tout lu et tout étudié sur le sujet, comme Marie-Thérèse Urvoy, n’y va pas par quatre chemins. Il fait appel à l’esprit critique : les contradictions internes, la science historico-critique, l’analyse linguistique, l’étude sémiologique, la simple critique du texte en lui-même, enfin le bon sens, tout converge, sourates après sourates, pour réduire ce texte à une élaboration humaine, sans auteur véritable, contradictoire, mise au service de pouvoirs successifs qui utilisèrent la religion comme moyen de puissance et de gouvernement. Ce travail est libérateur. À l’heure où on veut enfermer le monde musulman sur lui-même et alors que les autorités religieuses, politiques et sociales qui prétendent le régenter, savent pertinemment que le Coran ne saurait résister à la moindre critique scientifique. Question de survie ! À quoi sert le prétendu Åcuménisme ? Où est le respect de la liberté humaine ? L’obscurantisme est à l’origine d’un tel texte : il ne faut pas s’étonner des conséquences. Les hommes et les femmes qui sont « soumis » à un tel diktat méritent d’être délivrés. Toute la question est de savoir le faire. C’est le vrai travail de demain.
La définition catholique traditionnelle du christianisme repose sur plusieurs éléments fondamentaux :
Le christianisme catholique reconnaît l’autorité spirituelle du pape et des évêques en communion avec lui.
La foi catholique s’appuie sur l’adhésion aux enseignements de l’Église portant sur les vérités que Dieu a révélées par son Fils Jésus-Christ, par la Révélation, l’Écriture Sainte, la Tradition et l’Église elle-même considérée comme seule interprète autorisée de la vérité.
Elle professe un Dieu unique en trois personnes (la Trinité : Père, Fils, et Saint-Esprit), l’Incarnation de Jésus-Christ, véritable homme et vrai Dieu, la Rédemption par la mort et la résurrection du Christ, ainsi que le salut et la vie éternelle.
L’accès à la Révélation dépend d’une double source : les Écritures et la Tradition, qui constituent ensemble le « dépôt de la foi ».
Les sacrements sont centraux : baptême, confirmation, eucharistie, réconciliation, mariage, onction des malades, et ordination. Ils sont indissociables de la liturgie et structurent la vie chrétienne.
L’unité de la foi se fonde aussi sur la succession apostolique, la prédication de la Parole et la vie sacramentelle.
L’Église catholique se veut « une, sainte, catholique et apostolique » : elle revendique une unité universelle dans la fidélité à la tradition remontant aux apôtres et au Christ lui-même.
Cette définition vise à maintenir la continuité de la foi chrétienne, vécue de manière communautaire et universelle, dans l’Église catholique, qui se conçoit comme dépositaire du message de Jésus-Christ transmis sans rupture depuis les origines du christianisme jusqu’à aujourd’hui.
Essaye de reproduire toutes les propriétés du Linceul de Turin.
Ensuite, tu pourras parler.
Critiquer les erreurs théologiques est un droit et un devoir moral
Arrêter de critiquer la croyance d autruie
Pourquoi avez-vous peur de découvrir la vérité ? Je vous invite à faire des recherches objectives sur le christianisme pour vous rendre compte que vous êtes dans le faux.
Christianisme,😂un mot créé après le passage sur terre de Jésus-Christ.Quand Jésus-Christ reviendra, il demandera certainement ce que veut dire christianisme.Comment un sénégalais peut se réclamer d’une religion qui était exclusivement destinée au peuple d’Israël ?Et puis votre dieu a une mère, un grand-père et certainement un arrière grand père qui sont tous des dieux. Quitter votre comédie avant que la mort ne vous atteigne.
VOUS AVEZ DIT « BON RAMADAN ! » ? MALHEUR !
En ces jours de ramadan où il ne manque pas même de gens d’Église, y compris des évêques, pour souhaiter un bon, un « béni », un « saint ramadan », je me demande si c’est bien là rendre service aux musulmans, et à la société tout entière, que de laisser croire que l’islam est une bonne religion, une religion comme une autre, conduisant certainement à Dieu, pacifique et bienfaisante, à l’instar de celle de Jésus-Christ. Comment les musulmans pourront-ils jamais se convertir si les chrétiens eux-mêmes leur chantent les louanges de l’islam ?
Que peuvent penser les musulmans lorsqu’ils1 voient les salamalecs qui leur sont adressés par des gens qui ne sont pour eux « qu’impureté » (Coran 9.28), les « pires de la création » (Coran 98.6), les « plus viles des bêtes » (Coran 8.22), tous voués au feu de l’enfer (Coran 5.72 ; 9.30,33,113) parce que précisément chrétiens ? Que peuvent-ils penser de nous, sinon que nous sommes soit des idiots incompréhensiblement obtus pour ne pas devenir musulmans, nous qui leur disons que l’islam est une bonne religion, certainement supérieure à la nôtre puisque postérieure, ou bien que nous sommes des hypocrites en n’osant pas leur dire en face ce que nous pensons réellement de l’islam ? Et dans les deux cas, que nous reconnaissons déjà qu’ils sont devenus nos maîtres ? Y a-t-il une autre interprétation qu’ils puissent faire de notre attitude ?
Certes, agir ainsi ne peut que plaire à la religion de la République pour laquelle il n’y a pas de vérité en soi et qui rêve d’un peuple de soumis (sens du mot « musulman »). Mais le devoir de l’Église n’est-il pas d’appeler les musulmans à quitter l’islam pour entrer dans la vie éternelle à la suite de Jésus, le seul Sauveur ?
Je ne crois pas que l’Église accomplisse sa mission lorsque ne disant pas « à temps et à contretemps » (2 Tm 4.2) l’impératif absolu de la conversion au Christ, elle ne dénonce pas le péché, qui est de ne pas croire en Jésus Fils de Dieu mort et ressuscité pour notre salut (Jn 16.9), ce dont précisément se fait gloire l’islam ! La paix qu’elle pense ainsi acheter, elle ne l’aura jamais, car “entre nous et vous, c’est l’inimitié et la haine à jamais jusqu’à ce que vous soyez musulmans ! (Coran 60.4)”.
Nous aimons notre prochain en tant qu’il est un membre de l’espèce humaine comme nous, voulu et aimé de toute éternité par Dieu, racheté par le Sang de l’Agneau immaculé, mais ce n’est pas l’aimer que de l’encourager à marcher sur le chemin de sa damnation par le rejet du Christ Sauveur que l’islam lui enseigne (Coran 4.48,171) !
Un ami m’a demandé s’il devait continuer à recevoir son voisin de palier musulman. Je l’ai invité à l’accueillir si celui-ci vient en voisin, mais à ne pas le recevoir s’il vient en musulman, lui disant d’une part que c’est ce à quoi nous invite le Christ (2 Jn 1.7-11) … mais aussi l’islam (Coran 5.51) ! Aujourd’hui, sous prétexte de charité, on se croit obligé d’accueillir avec le pécheur son péché, s’en rendant ainsi complice, au lieu de l’aider à s’en débarrasser. Malheur !
Il n’y a rien de commun entre christianisme et islam, pas même la Vierge Marie, en laquelle pourtant certains prétendent trouver un pont entre le christianisme et l’islam.
Il n’y a qu’un Dieu. On ne peut promouvoir deux religions.
Abbé Guy Pagès
Il confond le Christianisme et la Franc-maçonnerie.
« Cela dépasse tout ce que j’ai pu imaginer. »
Pierre Brochant allias Thierry Lhermitte,
Le dîner de cons, France, Neuilly-sur-Seine, 15 avril 1998.
« Ne pensez pas que Je sois venu apporter la paix sur la Terre :
Je ne suis pas venu apporter la paix mais l’épée.
Oui, Je suis venu séparer l’homme de son père, la fille de sa mère, la belle-fille de sa belle-mère : on aura pour ennemis les gens de sa propre maison.
Celui qui aime son père ou sa mère plus que Moi n’est pas digne de Moi ;
celui qui aime son fils ou sa fille plus que Moi n’est pas digne de Moi. »
Évangile de Jésus-Christ selon saint Matthieu, chapitre 10, versets 34 à 37.
« Je suis venu apporter un feu sur la terre, et comme Je voudrais qu’il soit déjà allumé !
Je dois recevoir un baptême, et quelle angoisse est la mienne jusqu’à ce qu’il soit accompli !
Pensez-vous que Je sois venu apporter la paix sur la terre ?
Non, Je vous le dis, mais bien plutôt la division.
Car désormais cinq personnes de la même famille seront divisées : trois contre deux et deux contre trois ; ils se diviseront : le père contre le fils et le fils contre le père, la mère contre la fille et la fille contre la mère, la belle-mère contre la belle-fille et la belle-fille contre la belle-mère. »
Évangile de Jésus-Christ selon saint Luc, chapitre 12, versets 49 à 53.
« Si quelqu’un vient chez vous sans apporter cet enseignement, »
( la Révélation du Christ )
« ne le recevez pas dans votre maison et ne le saluez pas,
car celui qui le salue participe à ses œuvres mauvaises. »
Deuxième lettre de saint Jean, versets 10 et 11.
« Ne formez pas d’attelage disparate avec des infidèles. Quel rapport en effet entre la justice et l’impiété ? Quelle union entre la lumière et les ténèbres ? Quelle entente entre le Christ et Béliar ? Quelle association entre le fidèle et l’infidèle ? Quel accord entre le temple de Dieu et les idoles ? Or c’est nous qui sommes le temple du Dieu vivant, ainsi que Dieu l’a dit : J’habiterai au milieu d’eux et J’y marcherai ; Je serai leur Dieu et ils seront Mon peuple. Sortez donc du milieu de ces gens-là et tenez-vous à l’écart, dit le Seigneur. Ne touchez rien d’impur, et Moi, Je vous accueillerai. Je serai pour vous un père, et vous serez pour Moi des fils et des filles, dit le Seigneur tout-puissant. »
Deuxième lettre de saint Paul Apôtre aux Corinthiens, chapitre 6, versets 14 à 18.