Rapport explosif : « Ces criminels financiers doivent payer », Papa Samba Mboup enrage
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Papa Samba Mboup est choqué et indigné à la publication du rapport de la Cour des Comptes sur la gestion des finances publiques de 2019 à mars 2024. Selon lui, les responsables de ces détournements financiers doivent absolument être punis.
L’ancien chef de cabinet du Président Wade, au micro de Senego, exprime son désarroi face à la gravité des révélations du Rapport de la Cour des comptes.
« Je soutiens l’État dans sa démarche pour que ces individus rendent des comptes devant la justice. Ils jouent avec des milliards, alors que la population souffre, luttant pour se nourrir, se soigner et s’éduquer, dans un pays où beaucoup vivent dans la misère. Je suis abasourdi, mais je réclame que justice soit faite », a-t-il déclaré, profondément bouleversé.
Papa samba Mboup poursuit : « C’est un crime. Ces individus doivent être traduits devant la Chambre criminelle sans délai. Ils ont causé un tort énorme à ce pays. Des Sénégalais sont morts faute de moyens pour se soigner, dans un système où il est impensable de recevoir des soins sans argent. Dans nos hôpitaux, même un pansement se paye. Ces criminels sont sans cœur, et aucune compensation ne sera suffisante pour les souffrances infligées aux Sénégalais. »
Oui,ce rapport des cours des comptes n est pas du tout coherent .il faut etre tres attentif.
Fermez votre clapet, Mr sathieyy Mboup!
Wade et sa clique sont les plus grands pilleurs de la jeune Republique senegalaise.
Vous et votre guru devraient finite dans les abimes de l’enfer.
Vous Avez fait pire, il suffix de demander a la Cour des comptes de revisiter les annees 2000’s pour que les masques tombent.
Whisky…
BRAVO Papa Samba Mboup
Tous les sénégalais se sentent blessés par ces criminels
Un rapport biaisé et incohérent :La Cour des comptes sous pression politique
Le récent rapport de la Cour des comptes sur la gestion financière du précédent régime s’inscrit dans un contexte hautement politique. Or, loin d’apporter un éclairage impartial sur les finances publiques, il se distingue par des contradictions flagrantes, des imprécisions méthodologiques et une complaisance manifeste vis-à-vis du nouveau gouvernement. Ce document, censé être une référence en matière de transparence budgétaire, semble avoir été rédigé sous contrainte politique, compromettant ainsi sa crédibilité et son objectivité.
Une analyse approximative de la dette publique
L’un des axes majeurs du rapport concerne l’encours de la dette publique, mais il se distingue par une absence d’évaluation précise. Alors qu’il affirme que l’endettement de l’État est supérieur aux chiffres officiels, il ne propose aucune estimation concrète et laisse planer l’incertitude sur l’ampleur réelle du phénomène.
De plus, le rapport souligne des discordances entre les données de la Direction de la Dette Publique (DDP) et celles du Tableau des Opérations Financières de l’État (TOFE) sans arbitrer sur la fiabilité de l’une ou l’autre source. Il en résulte une lecture confuse de la situation budgétaire, où des accusations graves sont portées sans fondement précis.
Enfin, la Cour critique un manque de traçabilité sur certaines dettes bancaires tout en reconnaissant leur existence, sans apporter d’éléments probants sur leur volume ni leur impact réel sur les finances publiques.
Une contradiction sur l’évolution des recettes fiscales
Le rapport dépeint un tableau contradictoire des recettes fiscales. D’une part, il reconnaît que ces recettes ont connu une croissance soutenue entre 2019 et 2023, à l’exception de 2020, année marquée par la crise sanitaire. D’autre part, il affirme que le stock des créances fiscales impayées a progressé de 32 %, sans contextualiser ce chiffre ni en analyser les causes profondes. Cette juxtaposition d’affirmations contradictoires conduit à une lecture erronée de la dynamique budgétaire.
Par ailleurs, la Cour déplore un suivi insuffisant des dépenses fiscales (exonérations), tout en fournissant des estimations annuelles qui prouvent l’existence d’un mécanisme de contrôle. Cette incohérence illustre une volonté manifeste de pointer des irrégularités sans en démontrer la réalité.
Des failles méthodologiques
L’approche méthodologique adoptée par la Cour soulève de sérieuses interrogations. Elle dénonce des pratiques de rattachements irréguliers de recettes visant à minimiser artificiellement le déficit budgétaire, tout en évitant d’examiner d’autres pratiques comptables qui pourraient exagérer certaines dépenses.
De même, elle qualifie de « opaques » les Comptes Spéciaux du Trésor (CST), mais accepte les chiffres qui en émanent sans expliquer le processus de vérification employé. Une telle contradiction affaiblit la rigueur du rapport et met en doute la fiabilité de ses conclusions.
Une gestion budgétaire mal analysée
Le rapport accuse l’ancien gouvernement d’avoir contracté une dette bancaire hors du circuit budgétaire, sans expliciter comment cette dette a pu être dissimulée pendant plusieurs années. Une accusation d’une telle gravité nécessite des éléments concrets, que la Cour ne fournit pas.
En outre, elle critique les transferts vers les Services Non Personnalisés de l’État (SNPE), laissant entendre qu’il pourrait s’agir d’un détournement de fonds, mais sans fournir de preuve tangible. Une telle approche alimente le soupçon sans étayer les accusations, ce qui nuit à la crédibilité du document.
Un timing suspect et un manque d’indépendance
Le contexte de publication de ce rapport soulève des questions légitimes sur son indépendance. Il est rendu public immédiatement après l’arrivée du nouveau gouvernement et reprend presque mot pour mot les déclarations du Premier ministre Ousmane Sonko sur une supposée falsification des comptes. Cette synchronisation alimente le doute sur une possible instrumentalisation politique de la Cour des comptes.
De surcroît, le rapport s’appuie sur les documents officiels du précédent gouvernement pour en contester la fiabilité, sans justifier pourquoi certaines données seraient acceptées et d’autres rejetées. Cette sélectivité des critiques renforce l’idée d’un travail orienté.
Un rapport qui discrédite la Cour des comptes
Ce rapport, loin d’être un outil rigoureux de transparence budgétaire, illustre les dangers d’une institution sous pression politique. En multipliant les contradictions, les approximations et les assertions non étayées, il affaiblit sa propre crédibilité et jette un discrédit sur l’ensemble du processus d’audit.
Plutôt que d’être un instrument de vérification indépendante, la Cour des comptes semble avoir cédé à une logique partisane, compromettant ainsi sa mission de garant des finances publiques. Cette situation pose un précédent dangereux pour la gouvernance économique du pays, où l’expertise technique devrait prévaloir sur les agendas politiques.
PATRIOTE CHANGES DE NOM TU N’A RIEN DIT VOUS DEVEZ FERMER VOS GUEULES BANDE DE VOLEURS LE RIDICULE NE TUE PAS VS DEVEZ ACTUELLEMENT RASER LES MURS
YAAAW DOUL XANA ABDOU MBAAWWW MOLA ENVOYER TEXT BIIII MDRRR LE RIDICUL NE TUE PAS BANDE DE VOLEUR PRISON POUR TOUS LES BARARDS DE APR
DOUL DOUL DOUL DOUL DOUL DOUL Bande de fumiers hypocrites voleurs sales menteurs vous ne savez meme pas combien le peuple vous déteste ces gens de APR ce parti doit être dissoute tous ces criminelles emprisonnées bandes de malfaiteurs ferme ta bouche puante de merde dolen sakh rousse de vrais fumiers ces batards sans scrupules ni vergogne
Yow nopil amgua ayyy mbottt diii you poucal noppil