Le ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche a pourtant soutenu devant les membres du Cese : «Pour moi, il n’y a pas de nouveaux bacheliers non orientés.» Son argumentation se fonde sur le fait que le reste des nouveaux bacheliers qui n’ont pas trouvé de place dans le public ont encore une chance de poursuivre leurs études.
Sur la plateforme qui a permis de s’inscrire, il est possible de trouver des écoles privées où ils peuvent s’inscrire. Dans «une logique de transparence», il a soutenu que cette année «il n’y a aucun nouveau bachelier orienté sur la base d’une intervention», grâce à la plateforme mise en place.