Oumar Sow, le fils du président Bazoum, et Ousmane Yara : l’incroyable bagarre au palais présidentiel

Ah, les couloirs du pouvoir! On pourrait croire que c’est un endroit pour débattre de la haute politique avec sérieux et retenue, mais parfois, ça ressemble plus à une cour de récréation… avec des coups qui partent! Oumar Sow, notre apériste local, nous livre sa version des faits après une altercation digne d’un film d’action au Palais de la République. Un scénario où les poings parlent plus fort que les mots!

Petit flashback sur la scène: Oumar se pointe tranquille au Palais, histoire de faire ses adieux et de récupérer ses affaires. Mais voilà, qui croise-t-il? Ousmane Yara, tout droit sorti d’une audience, accompagné de ni plus ni moins que le fils du président Mouhamed Bazoum. Et là, sans préambule, Ousmane lance les hostilités: « Je t’avais dit qu’on allait faire tomber votre candidat ». Ambiance…

Oumar, pas du genre à se laisser faire, réplique sur le ton de la répartie. Mais Yara monte d’un cran, balançant une insulte qui ne passe pas inaperçue. Et bam! Ça part en bagarre sous les yeux ébahis d’un membre du GIGN, qui, on l’imagine, devait se demander s’il était toujours au boulot ou s’il avait basculé dans une réalité alternative.

La suite, c’est du grand cinéma: Oumar « boxe » littéralement Ousmane qui se retrouve au sol, tandis que ce dernier continue de l’insulter, prophétisant la fin du règne d’Oumar et de sa clique. Mais toute bonne chose a une fin, et nos combattants sont séparés par les forces de l’ordre, Oumar se voyant même proposer un petit voyage direction la Brigade de Thiong. Sauf que monsieur avait sa voiture, et qu’un arrangement à l’amiable avec la gendarmerie lui permet de s’y rendre avec un peu plus de style.

Cette histoire, c’est un peu comme une bagarre dans la cour d’école, sauf qu’ici, les protagonistes jouent dans la cour des grands, avec des conséquences qui peuvent être loin d’être enfantines. Ça nous rappelle que, peu importe le prestige des lieux, les passions humaines restent les mêmes. Et une chose est sûre, cette altercation au sommet n’est pas près d’être oubliée!