Dans une analyse relayée par Emedia, le journaliste Souley Wade propose un point de vue sur la terminologie employée par le Fonds Monétaire International (FMI) concernant la situation financière du Sénégal. Il questionne l’adoption par l’institution du terme « dette cachée », jusqu’alors privilégié par les autorités sénégalaises, y voyant une manœuvre stratégique plutôt qu’une simple coïncidence.
Selon l’auteur, en délaissant ses propres termes techniques comme « misreporting » ou « données erronées » au profit du vocabulaire politique du gouvernement, le FMI s’insère dans le discours national. Pour Souley Wade, cette démarche, bien que pouvant être perçue comme une reconnaissance de la transparence, positionne le Sénégal dans une posture de faute admise. La discussion technique se transformerait ainsi en un enjeu moral, modifiant le rapport de force dans les négociations.
Cette analyse suggère que chaque concession sémantique pourrait préparer le terrain à des concessions économiques futures. L’auteur évoque les conditionnalités souvent associées aux programmes du FMI, telles que la rigueur budgétaire, la réduction des dépenses publiques et la suppression de subventions. « Les mots ont un prix, surtout dans la diplomatie financière », souligne-t-il, indiquant que le coût de cette nouvelle posture sera probablement visible dans le prochain programme négocié avec l’institution.
Cette situation n’est pas sans rappeler les débats sur le rôle même de l’institution financière. Selon nos archives, le FMI, autrefois pointé du doigt pour son manque de vigilance par les acteurs aujourd’hui au pouvoir, est désormais brandi comme un témoin de la situation. Ce changement de statut a été analysé comme un pivot stratégique, où l’institution passerait de « coaccusé » à arbitre de la crédibilité nationale.
En conclusion de son propos, Souley Wade cite un « ancien opposant, aujourd’hui au pouvoir », qui affirmait qu’« il faut s’inquiéter lorsque le FMI ou la Banque mondiale vous félicitent ». Il met ainsi en perspective les félicitations actuelles, s’interrogeant sur ce qu’elles pourraient dissimuler.

Ce que Pros disait reste vrai.
Seuls kulunas avaient besoin de Fmi pour accepter que la dette cachée existe.
Et oui, il faut avoir peur si le Fmi vous félicite la preuve est là. Dette dissimulée, mensonge sur les chiffres qui mettent mal à l’institution financière.
Pastef a pris ses responsabilités et à dénoncer le mensonge. Il n’y a que les pro Macky qui attandaient que le fmi confirme et là vous voulez nous retourner la balle.
Oublions Fmi et trouvons les 🐀 rats qui ont trompé notre administration. Ce combat devrait être le combat de tous les sénégalais pouvoir et opposition contrenles voleurs de la république… et on y arrivera inchallah.
Ce monsieur est un kuluna
Ce souleye wade est plus politicien opposant que journaliste. Tu n’as même pas le courage de s’affirmer. Pauvre kulunas !!!
Le discours du régime Pastef est très claire sauf pour les naafekh : FMI oui mais pas à n’importe quel prix. C’était tellement plus facile de continuer à jouer le jeu de l’ancien régime
Deug la sonko wakh
en Ouolof….
Fmi koumou taggue war nga tite….
Ces mots sont de Sonko.
Lii tchi kanam waroul ii beutt…