Le ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique, le Professeur Mary Teuw Niane, entouré des recteurs d’Universités du Sénégal, a fait face à la presse ce mardi, pour une séance d’explication autour de la Loi cadre, objet de polémique, entre le Gouvernement et les syndicats des enseignants du supérieur.
Et d’emblée le ministre a manifesté « la volonté du gouvernement de conclure avec la Loi cadre. Le désir du gouvernement, dit-il, c’est de terminer ces négociations avec les syndicats pour que tout le monde puisse se mobiliser pour la réussite des réformes ».
Dans cet ordre d’idées, M. Niane a invité le Syndicat autonome des enseignants supérieurs (Saes) et les autres syndicats du supérieur, ce vendredi, à des discussions en commissions techniques.
Mary Teuw Niane a ensuite disséqué la Loi cadre qui a réformé les universités sénégalaises. Pour l’instant, fait-il savoir, il ne reste que les universités Cheikh anta Diop et Gaston Berger qui tardent à être dotées de Conseil d’administration qui sera présidé par une personnalité issue du milieu socio-économique sans salaire. Le quel conseil est composé de 20 membres dont 10 issus de la communauté universitaire et les 10 autres du monde socio-économique.
Le « qu’est la constitution du conseil d’administration » est juste une précision. Le sujet dans la phrase de beukeu est bien « le point d’achoppement ». Donc, beukeu a bien eu raison de rectifier « accepté » ET NON « acceptée ». Ci sammapp xam-xam.
beukeu la constitution du conseil d’administration ne sera jamais acceptée c le participe passé employé avec l’auxiliaire être s’accorde en genre et en nombre avec le sujet c’est bien comme ça
pardon à l’accord : accepté au lieu de acceptée.
tu perds ton temps , le point d’achoppement qu’est la constitution du conseil d’administration ne sera jamais acceptée par les dignes universitaires du Sénégal.Vous allez dans d’autres pays copier des réformes e voulez les appliquer par le forceps,sans tenir compte de certaines réalités locales .M.niane,revoyez votre copie et apprenez à respecter vos collègues : n’oubliez pas que vous êtes à un doigt de la retraite