Maman de « Bébé joola » : « Pourquoi je monnaye mes interviews… »

Le 17ème anniversaire du naufrage du bateau le « joola » a vécu ce 26 septembre 2019, avec son lot d’attentes non encore satisfaites. Ce, malgré les engagements pris par le gouvernement.
Un témoin pas comme les autres
Mais la révélation de taille vient de la dame Mariama Diouf, rescapée du drame en 2002 et mère de la fille « bébé joola » qu’elle portait dans son ventre au moment où le bateau coulait au large du fleuve Gambie.
Valorisation de l’histoire de « bébé joola »
Désormais, elle a décidé de monnayer les interviews qu’elle accorde à la presse. « Je n’ai pas pris cette décision par vénalité. J’admets que vous faites votre travail, et vous en tirez dignement vos revenus, et j’aspire à la même dignité pour mes enfants. Si je peux me servir de ces interviews pour leur permettre de continuer l’école, alors pourquoi pas », s’est justifié Mariama Diouf.
Scolarité précaire
Sa fille, Rokhaya Faye que tout le monde appelle « bébé joola » se fait souvent renvoyer de l’établissement scolaire où elle est inscrite, pour défaut de paiement de sa scolarité ou par manque de fournitures. « Pourquoi devrais-je permettre aux journalistes nationaux comme internationaux de se faire de l’argent sur son dos, pendant qu’elle peine à étudier dans des conditions normales ».
Selon moi cet enfant ne devrairx rien payer pour se ki conserne son éducation
Avec ça . L’Etat du Sénégal nous fait croire qu’il veille sur la scolarisation et l’éducation des enfants des victimes .. Quelle honte
Avec ça . ils nous font croire que l’État du Sénégal veille sur la scolarisation et l’éducation des enfants des victimes… Quelle honte
uo sont les promesses des autorites de la Republique ,pupilles de la nation , ces politiciens menteurs parasites qui sucent le peuple.
Ou est l.etat dans tout ca
Les gens de l établissement n ont pas de coeur !!!
Tres bien ils doivent payer
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