Liaison Dakar-Gorée : La chaloupe de nouveau en panne

Liaison Dakar-Gorée : La chaloupe de nouveau en panne

L’unique chaloupe reliant Dakar à Gorée est en panne. Les usagers dépités, ce lundi, à l’embarcadères, ont trouvé des guichets fermés.

Ceux qui veulent regagner Gorée ce lundi sont finalement restés à quai. La chaloupe est panne.

Coumba Castel est en panne depuis dimanche. Une panne liée à l’hélice qui s’est enlisée dans des filets. Et,  la réparation est en cours, a t-on allégué du côté de l’embarcadère.

Que de désagréments sur l’axe Dakar-Gorée. Depuis 2016, des alertes récurrentes ont été lancées en vain sur la liaison Dakar-Gorée.

« Une chaloupe en panne, et une autre en service »; « Les deux chaloupes en panne »; « La chaloupe Dakar-Gorée tombe en panne en pleine mer… de 10h à 14h »; « Le soir elle navigue sans lumière causant une grosse panique ». Ces alertes-sécurité chahutent la gestion de la chaloupe, ces dernières années.

2 COMMENTAIRES
  • Oumar D Thiam

    C’est honteux pour les liaisons quotidiennes et la continuité du territoire .national La côte d’Ivoire, pays de lagunes à trouvé une solution depuis mille ans en creant une société de trandport urbain couplant des bus et des bateaux bus pour assurer les liaisons avec les quartiers et localités des lagunes C’est sidérant que les directives présidentielles soient ignorées pendant 10 ans avec des pannes répétées en mer comme si le Sénégal n’avait pas vécu la plus grande catastrophe maritime de tous les temps Il s »y ajoute que la convention de gestion signée entre l’Etat la commune de Dakar et le Port est suranné avec des textes abrogées mais cette situation ne semble gêner personne dans les tutelles financière et technique. encore moins le pad qui continue de traîner des centres de coûts comme la liaison Dakar goree les phares et balides et les ports secondaires en violation de la loi autorisant sa création et de ses statuts .C’est dire qu’aucune conséquence n’a été tirée du changement de statut juridique du Pad dont l’objet social n’est pas de gérer des services de l’ETAT dont les contreparties financières connaissent des retards au détriment de la trésorerie du pad et de son objet social Cette situation semble échapper à tout contrôle à priori et à posteriori Aucun port africain compétitif digne de ce nom ne remorque des services de l’ETAT au risque de compromettre l’équilibre de sa trésorerie ,avec des périodes de compensation depreciant fortement les créances surl »ETAT Amadou Ba ou un autre candidat n’a cure de cette situation pourrie contraire à l’intérêt général et aux opportunités économiques et sociales en liant avec. la création d’une entité fédérant la liaison Dakar gorée et le COSAMA dont les navires appartiennent à l’ETAT pour l’essentiel En effet la demande de transport maritime de passagers et de fret demeure importante depuis toujours sur la casamance, la petite côte et la partie maritime du cap Vert La perspective stratégique est de connecter tous les modes de transport dans le cap Vert, notamment le rail, la route et la voie maritime Dommage que la vision de certains candidats manue de liens avérés avec nos réalités Économiques et sociales et souffre d’un état des lieux sectoriel critique et des solutions concretes dans le temps et dans l’espace Ma conviction est que notre pays. ,classé parmi les 25 pays les plus pauvres au monde risque de rester dans l »,ornière et la précarité car les mêmes gourous dont tentés de reconduire les mêmes mêmes paradigmes bureaucratiques populistes et démagogiques Une occasion encore manquée pour une génération qui va pâtir de ce défaut continu de renouvellement de ces paradigmes aujourd’hui réduits à des considérations dignes de la Roumanie de Ceacescu ou de la Yougoslavie serbo croate du dantesque TITO

  • Oumar D Thiam

    La solution est de retirer la gestion au port de dakar dont le métier n’est pas de faire du transport L »Etat et les communes de Dakar et Rufisque ainsi que le Cosama pourraient unir leurs efforts pour mettre en place une société de navigation assurant les liaisons maritimes entre Dakar et les autres escales maritimes du cap Vert et de la petite côte Le président avait demandé de trouver une solution depuis 2012 mais les choses n »,’ont jamais bougé et la directive tombée en désuétude avec les grandes gueules de la tutelle technique ,du Port et du coseg Les bateaux taxis étaient un autre mirage kafkaïen du sémillant maître wade la science infuse

Publiez un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *