Les terribles révélations de la malade du Coronavirus violée…

Violée dans sa chambre d’hospitalisation, à l’hôtel Novotel où elle espérait soins et réconfort, la patiente de la Covid-19 abusée par un hygiéniste de la Croix-Rouge fait de glaçantes confidences. Le quotidien Libération revient sur les faits.

Lorsqu’il s’est introduit dans sa chambre…

« Au 6e jour, un individu que je n’arrivais pas à identifier, à cause de sa tenue de protection, est venu dans ma chambre pour m’apporter le petit-déjeuner. Lorsque je lui ai ouvert la porte, il m’a dit que je suis timide et qu’à chaque fois qu’il m’apporte le petit-déjeuner, je ne daigne pas le regarder dans les yeux. Avant même que je ne lui réponde, il s’est introduit dans ma chambre. Ce qu’ils ne sont pas autorisés à faire. Je lui ai dit que je suis angoissée parce que j’ai peur et que je veux rentrer chez moi…« , a fait savoir la patiente.

« Quelques minutes après, la même personne est revenue…« 

Elle poursuit : « De suite, il m’a réconfortée en me disant que cette maladie n’était pas du tout grave, que je guérirai bientôt et rentrerai chez moi. Il m’a même laissé un numéro de téléphone pour que je l’appelle si le besoin se fait sentir. Ensuite, il est sorti de la chambre… Quelques minutes après, la même personne est revenue dans ma chambre avec 6 bouteilles d’eau qu’il a déposées sur l’armoire. Au même moment, je l’ai senti me toucher par derrière en pressant très fort mes seins. J’étais prise de peur, mais personne ne pouvait m’entendre à cause des portes blindées. »

« Il ne voulait rien entendre…« 

« Je lui ai demandé de me laisser tranquille, mais il ne voulait rien entendre. Il a continué à palper tout mon corps. Ensuite, il m’a soulevé et m’a demandé de l’embrasser. J’ai refusé. J’ai réussi à me libérer avant de me réfugier dans un coin, près du lit. Il est parti fermer à clé la porte de la chambre ainsi que la fenêtre. Lorsqu’il est revenu vers moi, il m’a bousculé sur le lit. Il a essayé d’introduire ses deux doigts dans mon sexe, mais cela n’a pas fonctionné à cause du sous-vêtement que je portais. Je résistais, c’est ainsi que je me suis couchée sur le ventre« , raconte la victime.

« Il m’a encore bousculée…« 

C’est par la suite que le violeur lui a demandé de le laisser faire. « Il m’a demandé si j’ai une fois eu des rapports sexuels. Je lui ai répondu par l’affirmative en lui indiquant que ce qu’il est en train de faire, c’est du viol. Par la suite, il m’a bluffée en me faisant croire qu’il allait partir et me laisser tranquille. (…) Il m’a encore bousculée sur le lit en recommençant sa sale besogne. Il a enlevé sa tenue de protection ainsi que son pantalon. Il a enlevé son gant de protection, qu’il a mis sur son sexe en guise de préservatif. Il a soulevé ma robe et enlevé mon sous-vêtement avant d’introduire ses deux doigts dans mon sexe. Puis, il écarté mes deux jambes. Le bout de ma robe était retombé couvrant de fait mon sexe. Je continuais à résister, malgré tout il a réussi à me pénétrer. Après son acte, il m’a ordonné de ne raconter à personne ce qui s’était passé, mais je ne pouvais plus me taire…« , regrette-t-elle.

2 COMMENTAIRES
  • diop

    Il faut le fusilller à la place de l indépendance

  • Morillo

    Bien détaillé. On dirait c’est que le coupable est le journaliste

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