Journée morte : "Au Sénégal, l’agonie sans fin de l’Université...", Alioune Tine en colère

Le bras de fer Saes-ministère de l’Enseignement supérieur sur la réouverture de l’Université Cheikh Anta Diop désole Alioune Tine.

Le 30 novembre prochain, le Saes a décrété « Université morte ». Le mot d’ordre du Saes veut illico presto la réouverture de l’Ucad avec des enseignements en présentiel.  Le Président de Afrika Jom Center s’en mêle et recadre les autorité centrales.

« L’Université, la Formation, la recherche scientifique et l’innovation en berne! Comment peut-on construire l’avenir de ce pays avec l’agonie sans fin de l’Université ? Surréaliste en pleine campagne où l’on parle de tout, sauf de recherche et d’innovation, moteurs du progrès partout », se frustre Alioune Tine.

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11 commentaires

  1. jean

    Tine ne vaut plus rien au Sénégal. Il parle pour ses bailleurs de fonds. Quand il joue l’extrême tension c’est pour lui un appel de fonds. Il fait son job.


  2. Dedett

    Alioune m’a vraiment déçu. Au moins commence par condamner ce qui s’est passé. L’Etat ne vous offrira pas la déstabilisation que vous cherchez sur un plateau. Ouvrir l’Université pour en faire un foyer de violence et un camp du MFDC en plein coeur de Dakar… Vous rigolez?


  3. Cheikh Tourè

    Ou était Alioune Tine quand on brûlait l université ? Aucun dirigeants du SAES n avait regretté ce désastre. Finalement tout le monde fait de la politique sur le dos des pauvres étudiants


  4. Zapp

    Merci Alioune Tine ce pays marche par la tête vivement le départ de ndafa qu’on puisse retrouver paix sérénité et succès à l’université et partout au Sénégal.


    • Garincha

      Quand des rebelles du MFDC ont été hébergés dans cette université par des voyous soi-disant étudiantsde votre secte vous n’avez pas élevé la voix. Quand ces mêmes rebelles partis de l’Université ont brûlé les oeuvres sociales, vous n’avez rien dit. Quand ils sont attaqué le CESTI vous n’avez rien dit. Quand vos alliés rebelles ont tenté de saboter et attaqué des infrastructures d’eau et d’électricité, vous n’avez encore rien dit. Vous les syndikhaliss et les soi-disant « étudiants » voulez encore faire de l’Université un repaire de rebelles, un camp retranché de déstabilisation du pays et l’Etat ne l’acceptera pas. En 1968 et 1971, l’Etat pour faire face aux communistes avaient su réagir vivement. Il le fera également en 2023-2024.


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