Jakarta, la dosette alcoolisée qui tue plus que la moto éponyme…

Jakarta, du nom de ce prisé moyen de locomotion à l’intérieur du pays, impliqué dans de mortels accidents, fait un émule tout aussi mortifère en la dosette alcoolisée ainsi baptisée, proposée à bas prix et qui décime l’ingénue jeunesse. Ce, dans l’impunité révoltante des tenants de brasseries et autres bars.

Vigies éthiques, les Bureaux exécutifs de Jamra & Mbañ Gacce rappellent que le phénomène n’est pas nouveau et qu’il avait acquis ses gorgées addictives sous les moqueurs labels «Salañ-Salañ» et «Namp-bi», en 2011.

Aujourd’hui, «l’eau de feu», fortement alcoolisée, est échangée au prix de 100 FCfa aux abords des écoles et autres lieux fréquentés par la jeunesse, dont la curieuse naïveté est exploitée par de véreux marchands de mirages. Ni plus ni moins que des criminels qui, noyant l’avenir de la Nation, méritent potence et guillotine.

Hlm, quartier périurbain de Dakar, pleure quelques des siens emportés par une overdose de la dosette meurtrière.

Drame poignant… Certes, d’autant que la culpabilité n’est pas que brassière, le laisser-aller, laisser-faire laxiste de nos autorités, expertes en réformes cosmétiques à grand renfort d’effet d’annonce, sans réel suivi, étatise une responsabilité beaucoup plus révoltante. Ayons peur chers compatriotes : pas moins de 400 bars végètent à Grand-Yoff, compte non tenu de ceux des autres quartiers de la capitale,

Gageons que le réveil décisionnel du chef de l’Etat en Conseil de ministres, mercredi dernier, fasse répression …

2 COMMENTAIRES
  • Kou may walou

    Ceux qui vendent ne sont pas des sénégalais d’origine. Ils s’en foutent éperdument. L’Etat doit prendre ses responsabilités en exigeant la fermeture de l’usine à Thiès.
    Les détenteurs des Bars et dépôts sont des guinées ressortissant de Bissau. les fabriquant sont des libanais .
    Le tout sans compter l’expansion démographique des autres guinées de la Conakry.
    La solution doit être radicale tout en exigeant des cartes de séjours à tous ces criminels que cela soit sur le plan économique ou de la salubrité publique .
    Le problème est à ce niveau.

  • Kou may walou

    Même les 90 % des mendiants dans la rue nous viennent de ces pays limitrophes .
    je voudrai pas le traité sur un plan ethnique mais le phénomène est sociologique.
    Les écoles publiques surtout élémentaires sont occupées par les enfants des ressortissants de la Guinée Conakry.
    Il en résulte des grands effectifs dans les classes obligeant des gorgolous sénégalais à inscrire leurs enfants dans le privé.
    Et le tout répercutera sur leurs pouvoirs d’achat.
    J’ai rien contre mes frères Africains mais nos échanges doivent se faire dans le respect et la préservation de nos intérêts . Nous devons choisir ceux qui veulent s’installer dans notre pays. Comme le dit l’adage « Sama bopp momala geuneul dou moy bagn nala » . Un Etat n’a pas d’ami il a des intérêts disait D..

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