J.A.S demande la mise en place du prochain gouvernement « ouvert à la société civile, aux syndicats et… »
Après les Locales et les Législatives, le Mouvement J’aime le Sénégal salue et encourage « la dynamique de notre système démocratique » qui, selon lui, « permet dans la plus grande transparence de traduire le choix des citoyens dans la gouvernance politique« .
Elections paisibles…
« Malgré un code électoral polémiste et polémique qu’il faut véritablement parfaire ; le Sénégal peut fièrement se contenter de la capacité de son administration et de sa justice à organiser des élections paisibles« , soulignent Moulaye Camara et Cie. A cet effet, le Mouvement J’aime le Sénégal a tenu à remercier « tous les acteurs, pouvoir et opposition ; parce que c’est le Sénégal qui gagne… »
Défis, crises et obstacles…
Et de poursuivre : « Une nouvelle reconfiguration politique qui se dessine et la Présidentielle de 2024 est déjà amorcée comme pas étant seulement une élection, mais surtout une étape décisive pour le développement du Sénégal. Les défis, les crises et les obstacles qui se dressent contre son rayonnement ne sont pas insurmontables au vu et au su des opportunités et de la qualité de ces hommes et femmes« .
Organiser un congrès national…
« Conscient du rôle important » que le mouvement J’aime le Sénégal doit y jouer, « le comité directeur entérine la proposition du Président Moulaye Camara à organiser un congrès national qui verra la forte participation de la diaspora le 23, 24 et 25 septembre prochain. La commission chargée de la mise en place de la nouvelle coalition, qui va accompagner le mouvement J’aime le Sénégal en 2024 dirigée par Monsieur Amadou Bassirou Ndiaye, Président du Mouvement « Bokk Defar Sénégal » et de Monsieur Maguette Wade, donnera les conclusions de ses travaux avec les différentes entités : Partis et Mouvements« .
Prochain Gouvernement…
Sur ce, le comité directeur du mouvement J’aime le Sénégal lance un appel au président Macky Sall « à mettre en place le plus rapidement possible le prochain gouvernement qui nécessairement doit s’ouvrir très vite à la société civile, aux syndicats et à l’opposition pour résoudre les cruciaux problèmes liés à la cherté de la vie parce que force est de reconnaître que les Sénégalais sont fatigués« .