L’annonce par la 7TV d’une émission spéciale prévue ce mardi soir à 22 heures, avec Madiambal Diagne comme invité de Maimouna Ndour Faye, continue d’enflammer les réseaux sociaux et le milieu médiatique.
Le journaliste, recherché par la justice sénégalaise et visé par un mandat d’arrêt international, s’exprimera depuis la France, alors que la chaîne opère depuis Dakar. Une situation jugée inacceptable par des militants de Pastef et observateurs de la scène nationale.
« Offrir une tribune sur un média national à un fugitif, qui est sous le coup d’un mandat d’arrêt international, est un affront à l’État. J’espère que les autorités prendront leurs responsabilités », a déclaré Madiaw Diop, militant de Pastef.
« Les autorités doivent couper le signal de la 7TV afin d’empêcher Maimouna Ndour Faye de faire son direct avec le fugitif Dambal Diagne. Trop c’est trop. On ne peut pas laisser cette fille donner la parole à un délinquant notoire qui nargue la République », a ajouté Landing Diémé.
Dans le camp des professionnels des médias, la démarche interroge également. Le journaliste Mame Ngor Ngom estime que la 7TV prend un risque éditorial majeur : « En journalisme, il peut arriver qu’on prenne le risque très élevé d’interviewer quelqu’un qui a pris la poudre d’escampette. Mais il est clair que Monsieur Madiambal Diagne ne peut pas se prévaloir, en ce moment précis, d’un statut d’analyste politique. “Mal nommer les choses, c’est ajouter au malheur du monde”, disait Camus », a-t-il rappelé.
Face à cette levée de boucliers, la 7TV n’a, pour l’instant, publié aucune réaction officielle, laissant planer le doute sur le maintien de l’émission prévue ce soir.

Si chacun manifeste son désir de voir quelqu’un en prison pour une raison ou une autre, c’est être animé d’une méchanceté inouïe et d’irresponsabilité sans commune mesure. Souhaiter du mal à son vis-à-vis, c’est cesse de faire preuve de manque de foi. C’est de la lâcheté.
Trop de liberté dans ce pays bilahi
Coupe le signal ce tout elle se fout des Senegalais un madiambal en fuite on l’aura mort ou vivant
Va te faire enculer pauvre idiot , souviens toi lorsque la journaliste de rfi diane galliot avait interviewe salif sadio , elle a ete declaree persona non grata et renvoyee du senegal a l’epoque la majorite des senegalaisavait applaudi cette decision .Cette dame est tout sauf une professionelle , elle est irresponsable, aucun journaliste n’a ose franchir la ligne rouge en interviewiant ce lache qui a pris la fuite pour aller se refugier en France. Je suis decu de diomaye , voici le manque d’autotite que sonko avait denonce .
De quelle gravité parles tu. Offrir une tribune à un individu qui fait l’objet d’un mandat d’arrêt c’est de la pure subversion
Ce qui vient de se passer avec la fermeture manu militari des locaux de la télévision de Maimouna Ndour Faye pour empêcher la diffusion d’une interview de Madiambal Diagne est d’une gravité extrême.
Dans quel Sénégal sommes-nous en train d’entrer, quand l’État choisit qui peut parler et qui doit se taire ?
Comment expliquer qu’un chef rebelle comme Salif Sadio, dont le mouvement a coûté la vie à plusieurs dizaines de soldats sénégalais, puisse s’exprimer librement dans nos médias, que le MFDC tienne un meeting à Ziguinchor avec son drapeau et même un otage encore détenu — sans qu’aucune autorité n’intervienne — et qu’au même moment, un journaliste, fût-il controversé, soit muselé par la force publique ?
Ce déséquilibre n’est pas seulement une erreur d’appréciation. C’est un signal politique dangereux.
Un État ne se renforce pas en bâillonnant la presse, mais en garantissant le droit à la contradiction et au débat public.
Le Sénégal a bâti sa réputation sur la liberté, la tolérance et le respect des institutions. Si nous laissons s’installer la censure sélective et la peur, nous perdrons bien plus qu’un débat télévisé : nous perdrons l’esprit républicain qui fait notre fierté.
Le pouvoir doit comprendre qu’on ne gouverne pas durablement par la peur, mais par la justice et la cohérence.
Ziguinchor n’est pas au Senegal?
Sonko avait fait une interview depuis Ziguinchor avec Walf TV alors l’etat a peur de quoi, nous sommes dirigés pas des mécreants
Pour rappel,
L’ennemi public N° 1 français; Jacques Mesrine, a été interviewé par Isabelle de Wangen de Paris-Match alors qu’il était recherché par toutes les polices et gendarmeries. Est-ce pour autant que Paris-Match a été sanctionné. Il ne vous appartient à vous décider qui doit interviewer qui. Allez-vous prévaloir demain de qui doit marcher sur tel trottoir, prendre tel bus, voyager dans telle région. Personne ne vous laissera décider de la marche de notre démocratie. Piaillez, criez, rouspétez mais personne n’abdiquera. Nous ne voulons pas de votre société de Tontons Macoutes.
Le Vrai.
Cher Sénégalais observer bien maimouna Ndour Faye, yirime seck, madiambale Diagne et leurs grands patrons Amadou Ba c’est facile de découvrir qui finance ce Trio
Qui avait fait une interview depuis Ziguinchor avec Walf TV vraiment rouss amoul
Régime de la terreur et de privation de la liberté
La démocratie est en danger dans ce pays ! Attention ! Attention !
Démocratie? Interview avec 1 recherché de la justice? Yow weur gua
Régime bou tapettes ragal madiambal diambal léne GUÉNNÉ Séne mbotyi
Wayé amna fénene foumou wakhé