Information-publi-portage Conf-Babacar Ngom: Souleymane Niang tance les propriétaires des medias…

Le traitement médiatique de l’affaire Ndengler suscite toujours des polémiques. Le Directeur de l’information chargé de la stratégie et du développement au sein du groupe Futurs Médias (GFM) est monté au créneau pour fustiger le comportement des propriétaires des médias et demande aux journalistes de suivre les normes du métier.

« La liberté de presse est consubstantielle avec la démocratie. On ne peut avoir une démocratie sans un média libre, professionnel et indépendant. De ce fait, dit-il les médias doivent être protégés. »

Sans les médias, il n’y aura pas une démocratie participative

Selon  le Directeur de l’information chargé de la stratégie et du développement au sein du groupe Futurs Médias (GFM), « on ne doit pas accepter que des personnes salissent les médias qui font un travail important. Sans les médias, il n’y aura pas une démocratie participative, citoyenne avec un bonne information pour la population. »

Par contre avoue-t-il, les médias ne sont pas des anges. Ils ont beaucoup de problèmes sur le plan éthique, des financements et des relations qu’ils entretiennent avec les pouvoirs d’argent, religieux et d’autres connexions très dangereuses…

Les précisions

D’autres part, il soutient que les journalistes ne doivent pas être « les propres fossoyeurs de cette profession ». Il y a eu une confusion extraordinaire sur la retransmission de la conférence de presse de Babacar Ngom. Mais éclaire-t-il, un privé contrairement à une institution publique, a le droit de sélection des médias qu’ils veulent pour couvrir son information. Le problème qu’a posé la CORED c’est l’éthique et la déontologie pour ne pas mélanger les genres journalistes (Information) et la publicité.

Propriétaires des médias et lobbyies

Souleymane Niang a sermonné les propriétaires des médiales qui manigancent sur le dos des journalistes:  « Les promoteurs et propriétaires doivent être aussi se parlés. Quels sont les intérêts qu’ils entretiennent avec ces lobbyies. Il faut découpler les problèmes  et que les journalistes défendent leurs professions au sein des entreprises. Un propriétaire média qui veut te faire un travail qui n’est pas en norme avec la profession, le journaliste doit refuser. Parce qu’ils ont des intérêts économiques à gérer et le journaliste à sa crédibilité, sa réputations et sa règle. »

 Les médias dérangent 

Pour lui, cette pensée ne doivent pas  se laisser prospérer  dans cette profession par les journalistes qui doivent aussi évoluer parce que les mœurs et pratiques évoluent et que l’environnement s’adjuge. »Par contre aussi,  il y a certains dont les médias n’arrangent pas. Ils feront tout pour discréditer cette profession qui doit être défendue par tous les moyens. Comment un propriétaire peut avoir du mépris pour son propre journaliste, c’est anormal  et c’est ce que l’on vit… »

2 COMMENTAIRES
  • Big Senegal

    Trop de JOURNALEUX CORROMPUS
    AU SENEGAL.
    JOURNALISTES ALIMENTAIRES.

  • Malick Diallo

    ya certainnes medias de bonne foi mes ya nas aussi pour le systeme qui depuis 1960 portent prejudice les pauvres senegalais largent vole ou detournait servent a corronpre domage dans cepays wuest qui marche cest largent le systeme a appauvrie nos mamans nos enfants nos tantes nos soeurs de telle enseigne que il peut acheter tous le monde nous sommes a lestade de survie chacun cherche ses depenses journaliere comme ont dit cest le sauve qui peux ya plus dhommesdigne a cause de la pauvretè avec se systeme ont nous fait courire de gauche a droite les gens nont plusde vergones ya plus des gens honnetes ce pays est pourie acause du systeme est la pauvretè tous les institutions sont sous la domination du systeme seule le president qui decide il a trop de pouvoires cest pourcelas ces president il finissent tres male il sont porter serment est il sont menti leur peuples il sont mentie dieu domage ya us de valeurs

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