Il y a 94 ans, El Hadj Malick Sy disparaissait…

Il y a 94 ans, El Hadj Malick Sy disparaissait…

27 juin 1922, 27 juin 2016. Voilà 94 ans, jour pour jour qu’ El Hadj Malick Sy rendit l’âme à Tivaouane où il fut inhumé. Aujourd’hui, son mausolée fait partie de l’un des lieux les plus visités au Sénégal. Cet érudit de l’Islam et de la Tariqa Tidjaniya a marqué sa génération par son amour du savoir et ses qualités panégyriques sur le prophète Mouhamed (Psl). Maodo a beaucoup contribué à la propagation de la religion musulmane et de la confrérie soufie fondée par Cheikh Ahmed Tidiane.

D’ailleurs, c’est après son voyage à la Mecque en 1988 qu’il revient avec le titre de Khalife de la Tidjaniya pour le Sénégal. Fils de Sidy Ousmane Sy et de Sokhna Fatoumata Wade Welé, Malick Sy est né à Gaé (Gaaya en wolof) près de Dagana vers 1847. Sa date de naissance reste incertaine. En effet, la tradition orale indiquant que son «entrée dans ce village» eut lieu le 25 février 1855, il en a été déduit qu’il était né ce jour-là.

8 COMMENTAIRES
  • truth truth

    yalla na yalla fayalgnou seydil hadji malick sy amine

  • lass fouladou

    macallha yalla niou tas si barkem amine

  • Anonyme

    yalna yalla yokou ay lrame

  • aicha

    Machallah Machallah

  • rebatass

    yalla na yalla yob lairam ter tass niou barkem

  • n

    machallahhhh

  • Dr Mouhamadou Bamba NDIAYE

    En dépit de sa vaste érudition et de ses dons mystiques avérés, Cheikh Seydi El Hadj Malick SY (Maodo) avait choisi d’être disciple de Cheikh Ahmad TIDJANI Chérif pour l’éternité ; oui, il avait toutes les qualités et dispositions pour créer sa propre voie, mais il avait préféré être sous la tutelle d’un éminent ‘’Homme de Dieu’’, un Saint d’un rang exceptionnel, et d’être promu comme un substitut (vicaire) digne de confiance devant les hommes de sa génération.
    Oui, Cheikh Seydi El Hadj Malick SY (Maodo) n’a jamais envisagé son ascension en dehors de la Tidjaniya ; dès lors, il n’était qu’un maillon d’une longue chaîne (généalogie) spirituelle (silsila) et ne pouvait que jouer la partition qui lui était assignée ; bref, il n’était qu’un disciple et serviteur qu’Allah avait comblé de bienfaits, en lui conférant le statut de ‘’khalife de Cheikh’’ et donc de pôle (khoutb) détenant une ‘’autorisation spéciale’’ (idznou’l khass) pour appeler les hommes sur le chemin d’Allah.
    En vérité, en souscrivant à la Tidjaniya, Cheikh Seydi El Hadj Malick SY (Maodo) avait accrédité son vénéré maître, Cheikh Ahmad TIDJANI Chérif (1737-1815) qui s’était proclamé solennellement comme le « Sceau des Saints » (al khatima’l wilâyah) et avait annoncé que le Mahdi attendu à la ‘’’fin des temps’’ (akhirou zamân) sera son disciple ; il s’était donc engagé, et en connaissance de cause, dans cette perspective christique ; dès lors, il ne pouvait être qu’un précurseur du Mahdi …
    https://docs.google.com/document/d/1qr8ApfRRCvzRxzaLQrTFBPOflOpA1uK0Ro8ogv94w8w/edit?usp=sharing

  • diana

    machalla un homme exemplaire

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