L’Afrique subsaharienne fait face à un dilemme : financer ses besoins de développement ou remédier à sa vulnérabilité liée à la dette. Les pays de la région ont accompli des progrès remarquables au cours des deux dernières décennies, mais leurs besoins de développement restent importants.
Conférence sur le développent et la dette
La conférence organisée conjointement par le FMI et le Sénégal, en partenariat avec l’ONU et le Cercle des économistes, a vu passer de nombreuses parties prenantes dans un dialogue sur leur contribution respective au développement durable en Afrique subsaharienne.
Tenue ce lundi 02 décembre à Dakar, la rencontre internationale était l’occasion de mettre en évidence les obstacles au développement durable (ou les lacunes à combler) et de proposer des solutions pour y mettre fin. Et, face à la presse, après avoir mis en exergue l’objectif de cette conférence de Dakar, le ministre de l’Economie, Amadou Hott, est revenu sur les grandes lignes de cette conférence, le consensus de Dakar.
Développement et ses impératifs…
A cette occasion, M. Hott, en charge de l’Economie du Sénégal, a fait savoir que nul pays ne peut financer son développement en se basant sur la dette, le recouvrement des recettes fiscales ou sur les épargnes…
Il le dit mieux ici, regardez !