Eléctions : Le conseil constitutionnel confirme l’inéligibilité de Ousmane Sonko pour une durée de 5 ans
Le leader du parti ex-Pastef, Ousmane Sonko, ne sera pas candidat à l’élection présidentielle du 25 février 2024. Le maire de Ziguinchor ne sera pas aussi candidat à des élections au Sénégal pour une durée de 5 ans. L’affaire Mame Mbaye Niang (diffamation) est passé par là. Le conseil constitutionnel a confirmé cette thèse pour invalider la candidature de l’opposant.
Invalidée dès l’étape de contrôle des pièces, la candidature de Ousmane Sonko, pour laquelle ses avocats avaient introduit un recours se fondant sur le refus de la Caisse des dépôts et consignations (Cdc) de lui délivrer une attestation de paiement de caution, a aussi été déclarée irrecevable. Sur ce, le Conseil constitutionnel s’est appuyé sur le rejet de «son pourvoi dans la procédure de diffamation qui l’opposait à Mame Mbaye Niang» et (…) «qu’il se trouve définitivement condamné à une peine d’emprisonnement de 6 mois avec sursis ; que cette condamnation le rend inéligible pour une durée de 5 ans, en application de l’article L.30 du Code électoral».
Les détails sur ces raisons ci-dessous :
15. Considérant que le candidat Ousmane SONKO, à l’appui de sa requête, soutient que l’absence de l’attestation confirmant le versement de sa caution, qui a motivé l’irrecevabilité de sa candidature, ne lui est pas imputable, mais résulte plutôt de défaillances de la Caisse des Dépôts et Consignations (CDC), qui a reçu son chèque certifié, lui a délivré une quittance le 30 novembre 2023 et refusé de lui remettre une attestation;
16. Considérant que l’absence de l’attestation de versement de la caution et des fiches de parrainage est le résultat du refus des autorités administratives compétentes; que s’il est vrai, que le dossier d’Ousmane SONKO ne contenait pas toutes les pièces exigées par la loi, il est tout aussi vrai que ce fait ne saurait lui être reproché, puisqu’il est indépendant de sa volonté ;
17. Considérant, cependant, que si le contrôle des parrainages et leur validité sont, condition nécessaire pour la recevabilité des candidatures, elle n’est pour autant suffisante;
18. Considérant qu’aux termes de l’article L.125 du Code électoral, « pour s’assurer de la validité des candidatures déposées (…), le Conseil constitutionnel fait procéder à toute vérification qu’il juge utile»; que par arrêt n°1 du 4 janvier 2024, transmis par la Cour suprême, celle-ci a rejeté le pourvoi d’Ousmane SONKO dirigé contre l’arrêt n° 137 du 8 mai 2023 rendu par la première chambre correctionnelle de la Cour d’Appel de Dakar, dans la procédure de diffamation qui l’opposait à Mame Mbaye Kan NIANG; qu’il en résulte qu’ Ousmane SONKO se trouve définitivement condamné à une peine d’emprisonnement de 6 mois avec sursis; que cette condamnation le rend inéligible pour une durée de 5 ans, en application de l’article L.30 du Code électoral; que la requête est rejetée;
Sagna vous etes un drogue vous traitez les gens de batards c est regrettable ou sont vos menaces daye bok par force kene mounouko tere bok ouvrez vos gueules vous ne pouvez rien vous n avez rien tous ne sont pas des nafekh bande de fumiers
Ceux qui s’acharnent contre SONKO sont des bâtards, des clochards, des chiens.
Mais qu’ils sachent ces persécutions ne vont jamais prospérer inchallah Sonko sera rétabli dans ses droits.
Tout ce qu’on lui reproché est injuste.les teleguideurs ignorent les bêtises qu’ils commettent. Cinq ans c’est le mandat que va faire Bassirou ou cheikh tisane et tout ce mal qu’il est entrain de subir ne seront de mauvais souvenirs.