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Dissolution de l’Assemblée nationale : Découvrez la réaction du député Guy Marius Sagna…

Dissolution de l’Assemblée nationale : Découvrez la réaction du député Guy Marius Sagna…

Après la victoire de la coalition Diomaye-président lors de la dernière élection présidentielle, la question de la dissolution de l’Assemblée nationale a été agitée. Ainsi, le député Guy Marius Sagna a fait savoir que la dissolution de l’Assemblée Nationale est impérative voire obligatoire.

« C’est une obligation, c’est une nécessité, parce que les réformes, les ruptures sur lesquelles Pastef et la coalition Diomaye-Président ont battu campagne, ces ruptures-là ne peuvent pas être apportées par des députés appartenant à des coalitions qui n’ont pas battu campagne sur ces mesures. Donc ces députés-là ne défendront pas, ne voteront pas pour ces ruptures que le peuple sénégalais attend« , a déclaré Guy Marius Sagna, devant son passage sur Iradio, dans l’émission Jury du Dimanche.

Le député poursuit : « donc nécessairement, c’est une logique, il faut aller vers des élections législatives pour que le peuple sénégalais dise ce qu’il veut.« 

4 COMMENTAIRES
  • Lamine Diop

    Une majorité absolue a été la cause des malheurs du Sénégal.
    Que l’on veuille bien avoir des changements ce qui est normal mais on ne peut pas occulter d’avoir ds gardes fous.
    Il faut donc composer avec l’équipe du moment pour faire passer les réformes.
    S’il y a blocage l’Assemblée pourra être dissoute.

  • Malamine Drame

    Mon commentaire dans Senego sur le discours Ousmane Sonko/ melenchon et en réplique à Guy marius Sagna, invité de l’émission Jury du Dimanche de ce jour 19 mai 2024, parlant des prochaines élections législatives en vue dune Assemblée nationale acquise au pouvoir.

    Tout à fait , une Assemblée nationale à coloration ou à dominante PASTEF se révèle comme une nécessité absolue pour l’application de son programme de gouvernement. La où il y’a le hic, c’est que tout n’est pas encore acquis définitivement, le pouvoir d’état étant adossé principalement au pouvoir exécutif incarné présentement par psteef et le pouvoir législatif non encore acquis. Qu’en adviendra t’il? À cet égard, il va falloir faire preuve d’humilité et d’extrême circonspection dans le maniement des concepts dans la communication sous peine de heurter ou d’effaroucher les électeurs potentiels de pastef et alliés. En effet la toute récente pour ne pas dire la fraîche déclaration du pdt de pastef et non moins premier ministre de la République ,relative à leur position sur l’homosexualité ,pose problème et suscite moult interrogations dans un pays majoritairement constitué de musulmans voire de croyants abhorrant le gordjiguenisme pour parler trivialement de cette catégorie de personnes honnies à la limite, stigmatisées et même ostracisées. Malgré le terme casus belli employé par le premier ministre, néologisme incompréhensible et inintelligible par le sénégalais lamda . Cela risque de poser problème alors qu’on s’achemine vers des élections cruciales dont les enjeux se révèlent comme étant une survie du régime en place en ligne de mire dune opposition encore majoritaire qui se débat comme un beau diable pour se maintenir à l’assemblée et mener la vie dure aux nouveaux tenants du pouvoir . Il s’y ajoute le soutien sans ambages ni ambiguïtés annoncé à haute et intelligible voix et urbi et orbi apporté , par le pdt du parti pastef et non moins premier ministre de la République , aux états de l’AES, putschistes devant l’éternel, sans aucune légitimité si ce n’est la légitimité par la force des baïonnettes , ne reculant devant rien et en conflits permanents envers et contre tous, principalement contre leurs puissants voisins immédiats, comme la Côte d’Ivoire( l’affaire des 49 militaires ivoiriens créée et enflée artificiellement en tenant en haleine l’opinion publique nationale et internationale) le Nigeria ( ayant fermé ses frontières au grand dam des pauvres populations)et le Ghana.Alors que le Président démocratiquement élu, sillonnant les pays de la sous région, tient un autre discours pour ne pas dire un autre son de cloche à ceux là . En d’autres termes il y’a hiatus entre les deux têtes du pouvoir exécutif censés être en binôme comme il se le doit ,l’un construisant, l’autre déconstruisant. Que le leadership partagé au sommet de l’état se ressaisisse et sache raison garder et avoir constamment à l’esprit que le combat est loin d’être gagné, même si seulement une bataille est à leur portée. Donc un revirement de situation , source d’instabilité ( que Dieu nous en préserve)se révèle toujours possible au regard du caractère volatile et versatile de nos compatriotes pour ne pas dire des électeurs qui commencent à se livrer à toutes sortes de conjectures, les unes aussi invraisemblables que les autres.

    Telle est la constatation d’évidence et le cri de coeur d’un citoyen républicain, sans parti pris affiché mais épris d’objectivité et de vérité à toute épreuve, si ce n’est le parti du Sénégal
    Malamine Drame .

  • guisse

    cochon tu rigole demain si yana les islature tu wa woire que tu et minorites dans ce pays

  • Moutar ba

    C normal

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