Deux écrivains panafricanistes invitent à la solidarité autour du président Obiang Nguema

Le livre  » Teodoro Obiang Nguema Mbasogo ou Le Dernier Espoir d’un Continent »  vient d’être mis sur les rayons. Le philosophe et journaliste sénégalais, Mouhamed Thioune ( lauréat du prix littéraire sénégalais et du grand prix du journalisme de l’Afrique de l’ouest ) et l’Ivoirien (analyste des phénomènes socio-politiques contemporains ) Mohamed Nda sont les auteurs de ce magnifique ouvrage savamment bien écrit avec un contenu et un style digest.
Ces deux écrivains imbus de valeurs panafricanistes ont voulu traduire à travers cet ouvrage la volonté d’une Afrique debout, libre, responsable et progressiste et qui entend au rendez- vous du donner et du recevoir apporter sa pierre dans la construction d’un monde où toutes les parties doivent commercer dans le respect mutuel et la considération réciproque.
Ils ont ainsi brandi en exemple « le modèle de dirigeant africain  qu’est le président Teodoro Obiang Nguema qui grâce à son patriotisme, son panafricanisme est parvenu à faire de son pays la Guinée équatoriale l’un des pays les plus prospères et les plus émergents du continent africain, mais aussi un pays qui s’attelle à l’instauration de la bonne gouvernance, de la démocratie, d’un Etat de droit et de justice sociale ».
Le journaliste sénégalais et le sociologue ivoirien se sont ainsi « érigés en bouclier pour défendre la cause du président Teodoro Obiang Nguema qui comme Patrice Lumumba, Julius Nyéréré, Kwameh Nkrumah, Thomas Sankara, Ahmed Sékou Touré, Cheikh Anta Diop, Moammar Khadafi a voulu privilégier les intérêts supérieurs de son pays et de l’Afrique face à la cupidité de l’occident ».
Selon les auteurs de cet ouvrage qui ouvre aussi des pistes de réflexions sue les questions brulantes et les défis auxquels l’Afrique doit faire face, « le président Teodoro Obiang Nguema reste l’un des derniers espoirs en exercice sur la scène politique africaine qu’il importe de soutenir face à la volonté de destruction d’un Occident pervers et qui par tous les moyens ( campagne médiatique, création d’une opposition mécanique ) tente de détruire les panafricanistes de la trempe du président Teodoro Obiang Nguema ».
Les deux auteurs invitent les intellectuels, les journalistes, les hommes de foi et d’engagement à plus de vigilance, de responsabilité, d’engagement pour la préservation des valeurs africaines.
Ils ont ainsi invité leurs compatriotes de toutes les régions d’Afrique à faire corps et à rendre hommage au président Teodoro Obiang Nguema qui ne cesse de poser des actes concrets traduisant son attachement à l’Afrique et aux intérêts des fils du continent. En témoigne l’organisation en Guinée équatoriale de la dernière coupe d’Afrique de foot- ball. D’après les deux écrivains panafricanistes, le président Teodoro Obiang Nguema a une fois de plus sauvé l’honneur de l’Afrique. La publication de leur ouvrage a aussi justifié avec pertinence le choix porté par ces deux écrivains sur celui- lç qui fait la fierté de tout un continent.
11 COMMENTAIRES
  • sanfo

    vs ne pas h

    Teodoro Obiang N

    Cet article est une propri
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    Teodoro Obiang Nguema

    obiang
    quele espoir c,est polices ne chasse pas les africanes labas

  • sanfo

    obiang quel espoir vous nepas honte c,est polices ne chasse pas les africaines la bas si vous vouler son largent demande lui son largent.il ne mittr pas .pour etre spoir de lafrique

  • kupukala

    ???? WTF's happening on this text about mister Obiang Nguema et these bulls**** comments?????

  • wakh wakhet

    kèl spoir pour l afrique, g vu un video ou lè policies tabassent sovagement lè émigré

  • osseyni

    L'espoir renait enfin en Afrique. Merci aux auteurs de ce livre pour leur courage. A lire par toute la jeunesse africaine !

  • grâce

    vraiment ces écrivains sont nulles
    Il ya tellement de chose sur lesquelles ils peuvent écrire notamment sur la mentalité des chefs d'états africains qui sont les premièrs corrompus d

  • osseyni

    Enfin l'espoir renait en Afrique. Merci aux auteurs de cet ouvrage pour leur liberté de ton. A lire par toute la jeunesse.

  • Xeme

    Pour comprendre la diabolisation de nos dirigeants, prenez un Robert Mugabé, le matraquage de bulles médiatiques, fabriquées par l'Occident et appliquées par des journaleux africains, fait que beaucoup de jeunes africains retiennent Mugabé= choléra. Peu se souviendront que quand Bob Marley chantait :
    "Every man gotta right to decide his own destiny…
    Brother, you're right, you're right…
    Natty dread it in-a (Zimbabwe)"
    C'était ce R. Mugabé qui était honoré par cette chanson. Le dirigeant de la ZANLA, qui libéra la Rhodésie de l’apartheid, qui reprit les terres des noirs des mains des blancs pour les redistribuer aux propriétaires, est diabolisé par des enfants d'Afrique. Le blanc n'a plus besoin de se salir les mains. Il a ses toutous chez nous, parmi nous.
    Pour diaboliser Bokassa rien de plus simple que de l'accuser de conserver, pour sa consommation, de la chair humaine dans ses frigos. Et aux journalistes-perroquets-répétiteurs d'Afrique de le divulguer.
    Je veux tout simplement dire que, si le blanc avait, en 1800, les moyens médiatiques qu'il a aujourd'hui, s'il avait ses perroquets noirs dispersés en Afrique comme aujourd'hui, nous n'aurions aimé ni Samory, ni Lat Dior, ni Elhadj Oumar, ni Ahmadou Bamba. Parce que leurs médias, repris par leurs perroquets d'ici, nous les auraient présentés diabolisés. Samory nous aurait apparu comme distributeur de choléra dans le Mandé, Lat Dior nous aurait apparu comme traître. Mais face à leurs outils de propagande et de diabolisation, nos griots traditionnels ont opposé des narrations avec la kora et le khalam, les légendes des veillés, et grâce à cette résistance nous avons aimé nos héros. Nos griots modernes (les journalistes) sont aujourd'hui les premiers traîtres de l'Afrique. Bardés de diplômes pompeux, aucun d'eux n'arrive à la cheville d'un Hadj Mansour. Tous trompés et corrompus par des méthodes du genre "Lauréat du Grand Prix "Con-Servile" de Reporter Sans Frontières" ou " Lauréat du Prix de Prestige "Votre-Obligé" de Reuters pour son article sur les droits de l'homo, nos petits journalistes rivalisent d'ardeur dans la servitude. Lorsque le blanc est contrarié dans ses plans par un dirigeant africain, il lui est facile de monter les propres fils de ce dirigeant contre leur père. Il le réussit par la fantisation médiatique.

  • diebel Sarr

    un vrai publireportage,ce pseudo livre.Comparer Obiang à Sankara,rumah,Cheikh Anta Diop etc,c'est un sacrilège

  • pisco88

    no moi je vè arrètè de lire senego un ami m lavè dis tu perd ton temps avec senego ils ne sont pas sèrieux comment obiang guema peut être un exemple de gouvetnance en afrique kelkun qui est au pouvoir depuis plus de 30 ans et que ses enfants rouled avec des rolls et jaguar dans les rues de Paris.un immeuble acheter par son fils alor ministre de lagriculture je n sè avec combien de million deuros en france .jè du respect pour ndao sè mon ancien mè ce livre 00000.

  • pisco88

    diebel c'est mêm une insulte a la mèmoire de ces derniers

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