Un homme de nationalité ivoirienne a perdu la vie vendredi dernier sur la Corniche Ouest, près de l’ambassade du Japon, à Dakar. Selon les informations de Walfadjri relayées par Libération, il aurait été mortellement blessé à la tête par des coups de brique assénés par un autre individu.
La victime, dont l’identité n’a pas encore été révélée, travaillait comme rabatteur au « marché malien » du Plateau, tout comme son agresseur présumé, Bacary D. Une altercation entre les deux hommes aurait dégénéré. Après les faits, Bacary D. se serait livré à ses amis, qui ont ensuite alerté les forces de l’ordre présentes dans le secteur.
Une enquête est en cours pour déterminer les circonstances exactes du drame. D’après Libération, un règlement de comptes serait envisagé, les deux hommes étant connus pour des disputes fréquentes liées à leur activité de rabatteurs.
Comment avez-vous su qu’il est de nationalité ivoirienne sans en avoir plus d’informations ?
Citoyens tu as parfaitement raison voilà des chômeurs de Luxe les marabouts
Monsieur le Président, vous venez de commettre un grave faux pas.
L’État n’a pas à s’immiscer dans le financement des familles religieuses au Sénégal. Depuis plus d’un siècle, celles-ci vivent comme des sangsues sur le dos de populations démunies. Il est hors de question de remplir leurs coffres-forts avec nos maigres ressources.
D’autres franges de la société, comme les familles pauvres ou les talibés qui dorment à la belle étoile ou survivent dans des maisons de fortune, mériteraient bien davantage ce soutien que l’on jette par la fenêtre.
Ces familles religieuses sont devenues les pourfendeurs de votre politique de rupture, une politique déjà payée au prix de vies humaines.
Vous allez droit dans le mur en réitérant cette promesse devant des familles religieuses, héritières du système confirmé par le tyran qui a laissé les forces de l’ordre et les gros bras de l’APR malmener nos frères de lutte.
Vous n’avez pas le droit, Monsieur le Président, d’ouvrir une boîte de Pandore qui risque de nous coûter nos maigres ressources
Oui, je suis d’accord avec toi