Craignant pour sa vie après sa libération, Baltazar s’est réfugié dans ce pays d’Europe (Vidéo)

Craignant pour sa vie après sa libération, Baltazar s’est réfugié dans ce pays d’Europe (Vidéo)

Une affaire rocambolesque qui a secoué la Guinée équatoriale connaît un nouveau tournant. Baltazar Engonga Ebang, ancien directeur général de l’Agence des Investigations Financières (ANIF), accusé d’un scandale sexuel en octobre 2024, a été libéré récemment par la justice. Désormais installé en Espagne, il bénéficie d’un répit après avoir été acquitté des accusations liées à la diffusion de vidéos explicites.

L’enquête, initialement ouverte pour détournement de fonds publics, avait révélé un volet inattendu : la découverte de plus de 400 vidéos compromettantes sur les appareils de l’accusé. Ces enregistrements montraient des relations sexuelles avec de nombreuses femmes, parmi lesquelles des épouses de hauts fonctionnaires et des membres de sa propre famille. Cependant, les témoignages et les analyses ont confirmé que toutes ces femmes étaient consentantes et savaient qu’elles étaient filmées.

Baltazar Engonga Ebang a également été soumis à des examens médicaux qui ont écarté toute suspicion de maladie transmissible. Les éléments recueillis ont conduit la justice à l’acquitter. Toutefois, son séjour en détention aurait été marqué par des maltraitances, notamment des agressions physiques subies de la part d’autres détenus.

Son fils, Edjo’o Engonga, président de la Commission de la CEMAC, avait été indirectement impliqué dans l’affaire en raison des répercussions médiatiques. Il a été confirmé qu’il n’avait aucun lien avec les actes reprochés à son père.

Aujourd’hui, l’ancien fonctionnaire, père de six enfants, se trouve en Espagne. Ce départ marque une pause dans une affaire mêlant scandale financier, vidéos explicites et controverse publique.

1 COMMENTAIRES
  • Yes

    Bref, les épouses des hauts fonctionnaires n’aiment pas leur mari respectif.

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