Cheikh Yerim Seck à Sonko : « Si je devais parler de vos mœurs, j’aurais pu faire un livre »

Le livre de Cheikh Yerim Seck « Macky Sall face à l’histoire » va couler beaucoup d’encre. Quelques minutes après la sortie de Ousmane Sonko s’attaquant à son livre suivie de l’annonce d’une plainte -citation directe-, le Journaliste ne mâche pas ses mots. Selon lui, le leader de Pastef est trop petit pour être un homme d’état.

La bataille

« Je lis, ce matin, votre publication me concernant qui me conforte dans cette idée: vous êtes dénué de toute qualité requise pour être un leader. Le manteau d’homme d’Etat est trop large pour vos épaules. Cette dédicace que vous dévoilez, et qui m’a été demandée pour vous par un ami commun, n’a rien de compromettant pour moi« , lit-on dans la réponse de Cheikh Yérim Seck.

Attention

Le journaliste ajoute : « Si je devais parler de vos mœurs, j’aurais pu faire un livre. »

In extenso la réponse de Cheikh Yérim Seck à Ousmane Sonko

« Je lis, ce matin, votre publication me concernant qui me conforte dans cette idée: vous êtes dénué de toute qualité requise pour être un leader. Le manteau d’homme d’Etat est trop large pour vos épaules. Cette dédicace que vous dévoilez, et qui m’a été demandée pour vous par un ami commun, n’a rien de compromettant pour moi. Elle reprend une phrase contenue dans le livre. L’avoir publiée me donne toutefois raison à propos de ce que je n’ai cessé de penser: vous êtes le prototype de l’homo pastefensis dénué de culture politique et d’intelligence sociologique que je décris dans ce livre.

M. Sonko, je vais, à la faveur de cette citation directe, donner plus de détails à propos de votre virée sur la corniche ouest qui a d’ailleurs fait l’objet d’une main courante de la police.

Macky Sall en a pris beaucoup plus que vous dans cet ouvrage qui étrille son régime sur plusieurs chapitres. Je lui ai pourtant envoyé une dédicace que je n’ai pas vue sur les réseaux sociaux. C’est dire… Il vous reste de la maturité et de l’épaisseur d’homme d’Etat pour pouvoir prétendre à diriger ce pays. »

PS: J’ai pris deux exemples pour étayer la thèse du non-complot autour de votre escapade nocturne à Sweet Beauté. Si je devais parler de vos mœurs, j’aurais pu faire un livre.

24 COMMENTAIRES
  • Tidiani

    Cher Yérim
    Vous n’êtes pas un modèle non plus

  • senegal

    yerim yafi violé sa doom mofi violé té lep amna preuve sonko nak batay preuve yi leroul

    • Moussa

      Mamadou Sonko, père de Ousmane a violé une de ses élèves âgée de 13 ans. Ce qui lui a voulu d’être radié de la Fonction Publique. Ousmane Sonko est né hors mariage. Bébé Sonko, demi-frère de Ousmane Sonko, né à Podor et rappeur raté, est aussi né hors mariage. Ousmane Sonko est mis en examen pour viols répétitifs . Donc tel père tel fils. On dit souvent que le fruit ne tombe jamais loin de l’arbre.

  • ISO

    Merci Cheikh tu es formidable, instruit et cultivé. Laisse les avec leurs attaques-rappelles tellement bêtes comme eux-mêmes. Sonkolait on d en balance grave

  • ABT

    MAIS YERIM SECK, EN DISANT CELÀ LO CI JUBLU, AK MBANE NDIERIGNE LALA AMAL.
    QUAND TU DIS DO HOMME D’ETAT , MEUNO NEK LEADER YAW YAYE YALLAH , YAYE DIOKHÉ NGOUR????
    YERIM RAGAL LALL YALLAH, YAWMAL KHIYAM DINA NIEW DE

    • Moussa

      Tu es un nafikh ABT. Tu fais référence à la religion
      Dis moi ce faisait un moutakalaf, avec 2 femmes, dans un lupanar? Mais comme ça t’arrange, tu oublies ce fait; que faisit Ousmane dans ce lieu. Juste repond.

  • Soweto

    Cheikh yerim SEX n’est qu’un trafficant d’influence il s’active que sur du faux

  • Soweto

    Sonkho devait pas répondre il fallait l’ignorer totalement comme l’a fait maky sall, car on ne peux pas répondre à tout un chacun.

  • dokh

    Au moins lui il a assumer mais sonko mome c est le pire des pires

  • wade

    ay way yerim Yeureumeul sa ndiabote…amo bene diome franchement tu une honte pour notre cher pays…

  • lo

    mais yurime tu te conné toit même khamke sa pope non noppile planouye wakh maklane Louga lanou dag keure Serigne Louga même gue toi té makle loloe lole manla diour khame Lou Bari nak hoho hoho noppile noppile

  • Lol

    Yerim Seck , tu arrêtes ou bien je vais dévoiler le nom et prénom de la fille avec qui tu vis en concubinage à Salou en Espagne . C’est toi Yerim qui lui a cherché le visa plus promesse de mariage avant de l”utiliser pour tes sales besognes.Je te défie si tu n’arrêtes pas je vais tout dévoiler

  • Deuk

    Ce vautours Sonko le donne de l’importance

  • Diop Ndiaye

    Un livre ou un torchon? Yerim maye niou diam tu es demasque. Un mercenaire daniouye deme wowi Moussa Dadis Camara…mdr

  • Birima

    Cheikh yerim t’as vraiment pas de vergogne. Mais on sait tout tu es pris par la gorge parce qu’ils ont des dossiers sur toi et a toi le sale boulot. Minable

  • diouf

    CHEIKH YERIM SECT Ya DAME MBOIDJ qui te demande de dire au sénégalais qui est ton vrai père

  • Dakhine beugue Senegal

    Vérité absolue Yerim. Tu n’as même pas révélé le 1/100e de ce que fait ce pervers sexuel : violer Adji Sarr plusieurs fois à sweat beauty; baiser une prostituee gambienne en 2019 (avant les élections) sur la corniche à côté de la mosquée de la divinité, dans son véhicule (4×4 noire de marque Prado); Scandale sexuel à Lyon ; Scandale sexuel à Ziguinchor (Marie Rose); Enceinter une fille de Thiaroye et l’envoyer au Maroc, etc…Bref, un vrai domeram ce type. Si les Pastechiens acceptent qu’il les dirige c’est leur problème, mais ce qui est sur c’est que les sénégalais ne confieront jamais leur pays à ce domeram. Procès rék ????????????

  • diouf

    J’ose aujourd’hui vous jurer que le juge qui sera désigné pour juger SONKO sera un halpullard.Ce sont les faiseurs des sales boulots

  • Apha

    Regardez son visage
    vous comprendrez qui est ce type
    on lui donne trop d’importance

  • Ndiaga L

    Le corbeau et le rossignol, ou quand le vice tente d’écrire un traité de grandes vertus (Par Pr Ndiaga Loum)
    Un recueil d’anecdotes vulgairement racontées et abusivement appelé « livre » est apparu cette semaine et largement partagé dans les réseaux sociaux, renseignant d’ailleurs au passage sur le caractère relativement minimal des exigences de rigueur éditoriale, sur la forme et sur le fond. Sous une apparence un tantinet racoleuse renvoyant à priori à une diatribe contre le président et son régime, sa visée cachée, très vite « dénichée » par les « nandités », est de contribuer au travail de salissage d’un opposant irréductible au bienfaiteur du « griot » de service si habité à ramper qu’il n’est plus capable de « voler » (pas de « violer »), pour reprendre le mot de Mao. Le jeu, l’enjeu et le timing sont si bien choisis par cet arbitre, ce juge « vertueux » (pardon pour l’évitement ironique) auto-désigné de la prochaine bataille que se livreront un candidat légitimé par une jeunesse démographiquement majoritaire et radicalement engagée et un autre candidat impopulaire et juridiquement disqualifié mais tenté par le diable du forcing, qu’ils ne laissent aucun doute sur la nature de la commandite et la personnalité lugubre du commanditaire. Entre le dépit et le mépris, me vient en souvenir un conte subtil. Mais, connaissez-vous la fable du corbeau et du rossignol? Un petit rappel :« Un corbeau et un rossignol, perchés sur une branche, cherchaient à savoir qui des deux chantait le mieux.
Et le corbeau d’y aller de sa voix graveleuse : Croâ ! Croâ ! Croâ !

    Le rossignol à son tour de sa voix flûtée : Pfui ! Pfui ! Pfui !

    Et de chanter chacun à leur tour sans être capables de se départager.
Passe par là un petit cochon.
Le corbeau aussitôt lui demande de les aider à savoir qui des deux chante le mieux.
Le cochon n’ayant pas d’autre chose à faire accepte de servir de juge.
Le jeu recommence.
Le corbeau : Croâ ! Croâ ! Croâ ! et le rossignol : Pfui ! Pfui ! Pfui !
Le cochon écoute, réfléchit et donne pour gagnant le corbeau.
Le rossignol fond en larme.
Le cochon voyant cela dit au rossignol : « Alors ? Vous pleurez parce que vous avez perdu ? »
Le rossignol de répondre : « Non ! Je ne pleure pas parce que j’ai perdu. Je pleure parce que j’ai été jugé par un porc ! »
À qui sait lire et comprendre!
    Ndiaga Loum, professeur titulaire, UQO

  • NDiaha L

    Le corbeau et le rossignol, ou quand le vice tente d’écrire un traité de grandes vertus (Par Pr Ndiaga Loum)
    Un recueil d’anecdotes vulgairement racontées et abusivement appelé « livre » est apparu cette semaine et largement partagé dans les réseaux sociaux, renseignant d’ailleurs au passage sur le caractère relativement minimal des exigences de rigueur éditoriale, sur la forme et sur le fond. Sous une apparence un tantinet racoleuse renvoyant à priori à une diatribe contre le président et son régime, sa visée cachée, très vite « dénichée » par les « nandités », est de contribuer au travail de salissage d’un opposant irréductible au bienfaiteur du « griot » de service si habité à ramper qu’il n’est plus capable de « voler » (pas de « violer »), pour reprendre le mot de Mao. Le jeu, l’enjeu et le timing sont si bien choisis par cet arbitre, ce juge « vertueux » (pardon pour l’évitement ironique) auto-désigné de la prochaine bataille que se livreront un candidat légitimé par une jeunesse démographiquement majoritaire et radicalement engagée et un autre candidat impopulaire et juridiquement disqualifié mais tenté par le diable du forcing, qu’ils ne laissent aucun doute sur la nature de la commandite et la personnalité lugubre du commanditaire. Entre le dépit et le mépris, me vient en souvenir un conte subtil. Mais, connaissez-vous la fable du corbeau et du rossignol? Un petit rappel :« Un corbeau et un rossignol, perchés sur une branche, cherchaient à savoir qui des deux chantait le mieux.
Et le corbeau d’y aller de sa voix graveleuse : Croâ ! Croâ ! Croâ !

    Le rossignol à son tour de sa voix flûtée : Pfui ! Pfui ! Pfui !

    Et de chanter chacun à leur tour sans être capables de se départager.
Passe par là un petit cochon.
Le corbeau aussitôt lui demande de les aider à savoir qui des deux chante le mieux.
Le cochon n’ayant pas d’autre chose à faire accepte de servir de juge.
Le jeu recommence.
Le corbeau : Croâ ! Croâ ! Croâ ! et le rossignol : Pfui ! Pfui ! Pfui !
Le cochon écoute, réfléchit et donne pour gagnant le corbeau.
Le rossignol fond en larme.
Le cochon voyant cela dit au rossignol : « Alors ? Vous pleurez parce que vous avez perdu ? »
Le rossignol de répondre : « Non ! Je ne pleure pas parce que j’ai perdu. Je pleure parce que j’ai été jugé par un porc ! »
À qui sait lire et comprendre!
    Ndiaga Loum, professeur titulaire, UQO

  • Bag

    Au lieu de cette fuite en-avant CYS devra répondre aux questions de Dame Mbodj qui semble bien le connaître. Si les insinuations gravissimes de M.MBodj sont avérées, l’ancien journaliste de JA est disqualifié pour parler de mœurs.

  • Mamadou

    Ce yerim est un élement très dangereux pour la socièté. Dans une vidéo qd Dadis Camara racontait comment Yerim voulait le faire payer beaucoup d’argent pour dit il soigner son image qd il etait à jeune Afrique m’a vraiment choqué. Le président Dadis a dit nièt.

  • Niang70

    Un troubadour restera tjrs un troubadour. Basse extraction

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