CESE: « Mon cher Abdoulaye Daouda… »

Depuis le 24 avril 2023, Abdoulaye Daouda Diallo est désormais le Président du Conseil Economique, Social et Environnemental (CESE), à la suite du décret pris par son Excellence, Monsieur le Président Macky SALL le nommant à ces hautes fonctions qui le placent comme la troisième personnalité de l’Etat du Sénégal après un brillant parcours scolaire, universitaire, professionnel et politique.

Le Président Macky SALL, par son génie, a su encore une fois faire le bonheur de tous les militants de l’Alliance Pour la République en portant son choix sur un militant de la première heure qui n’a plus rien à prouver sur les plans intellectuel, professionnel et politique.

En effet, ce natif de Boké Dialloubé, inspecteur des impôts et domaines de formation s’est très tôt engagé aux côtés du Président Macky Sall depuis la création de l’Alliance Pour la République en 2008. Son engagement, sa loyauté et sa fidélité au Président Macky Sall lui ont fait perdre beaucoup d’avantages. C’est ainsi qu’il a été démis par le Président Abdoulaye Wade de son poste de Secrétaire Général de l’IPRES.

Après l’accession de ce dernier à la magistrature suprême, il fut nommé en avril 2012, ministre délégué chargé du budget après avoir exercé de hautes fonctions dans l’administration centrale de notre pays.
Ses compétences, sa probité morale, son engagement auprès du Chef de l’Etat pour la prise en charge au quotidien des préoccupations des Sénégalais ont rajouté à ses galons car il devient en 2013, Ministre de l’Intérieur et de la Sécurité publique, Ministre des Infrastructures, des Transports terrestres et du Désenclavement en 2017, Ministre des Finances et du Budget d’avril 2019 à septembre 2022, Directeur de Cabinet du Président de la République de septembre 2022 à avril 2023.

Sa récente nomination à la tête du CESE n’est que le couronnement logique d’une carrière presque achevée d’un grand commis de l’Etat qui n’a eu de cesse de servir l’Etat et ses concitoyens.

C’est pour la bonne et simple raison que cette consécration est appréciée à sa juste valeur par les Sénégalais en général et les militants de l’APR en particulier.

Ces derniers se souviennent encore des 72 heures de l’APR qu’il avait brillamment animées en faisant le tour du Sénégal. Les Sénégalais sont aussi témoins des brillants résultats qu’il a réalisés partout où il est passé. Ce n’est donc, pour ce fonctionnaire affable, au talent et à la technicité incontestables, que la juste récompense d’un travail qu’il a toujours bien mené sous la direction du Président Macky sall.

Nous lui adressons toutes nos félicitations et nos encouragements et prions pour la réussite de cette mission exaltante que le Président Macky Sall lui a confiée.

A ce dernier, nous réitérons également nos félicitations et notre profonde gratitude, pour ce choix éclairé porté en la personne de Monsieur Abdoulaye Daouda Diallo, choix reposant exclusivement sur le mérite personnel d’un homme affable, compétent, loyal et fidèle à tous égards au Président Macky Sall qui sait pouvoir compter sur lui pour réaliser les nobles desseins qu’il a pour le Sénégal.

Mon cher Abdoulaye Daouda, vous êtes “the right man at the right place”, l’homme qu’il faut à la place qu’il faut.

Puisse Dieu vous aider à remplir pleinement votre mission pour un meilleur devenir de la Nation sénégalaise qui passera nécessairement par une réélection du Président Macky Sall en février 2024 pour lui permettre de parachever la marche vers l’émergence voire le développement économique et social de notre cher Sénégal.

* Par Ibrahima Baba SALL
Député Maire de Bakel.

2 COMMENTAIRES
  • Gaetan

    Si soutenir les oppresseurs, même avec un fragment de datte, ou même par le simple souhait qu’ils restent en vie, est une chose contre laquelle les Imams d’Ahl-ul-Bayt ont mis vivement en garde les Musulmans, quel péché impardonnable serait de participer à un gouvernement oppresseur, d’accepter d’y occuper une fonction ou de lui prêter serment d’allégeance, ou pis encore, de faire partie des piliers d’un pouvoir injuste et de contribuer activement à l’installation et à la consolidation de ce pouvoir. Car, comme l’a dit l’Imam al-Çâdeq, « un régime oppresseur, c’est le minage de tout le bon droit, le ravivage total du faux, la résurgence de l’injustice, du despotisme et de la corruption

  • Gaetan

    Le Needo ko banam en marche au Sénégal

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