Sans aucun doute , une économie ne peut prospérer sainement et durablement sans un contrôle des opérations financières. Mais le but du jeu, ce n est pas de gripper la machine. Le but du jeu, c est d’ huiler la machine. Cette machine est brevetée LCI, liberté du commerce et de l,’ industrie. J ai passe plus de 5 ans de ma vie a traiter de cette question. Le résultat est la publication de mon ouvrage sur le droit de la concurrence/ harmattan.
Mais la tendance nouvelle du contrôle m,’ inquiète. Elle inquiète les investisseurs. Elle inquiète les épargnants, notamment les sénégalais de l extérieur. S agissant de cette catégorie entièrement a part, je proposais a la conférence des ambassadeurs, en 2013, un emprunt obligataire au taux de 1pour cent. Une forme d effort de guerre pour soutenir le pays d origine. Je me réjouis donc de l’ initiative du premier ministre a ce sujet.
Revenant sur la question objet de la présente, je fais observer que le contrôle excessif du Centif n est pas de nature a mobiliser et dynamiser une épargne publique aux fins du financement du développement.
Les épargnants sont fouilles, épiés et suspectés. L effet est dévastateur pour les banques . Il le sera conséquemment pour les petites et moyennes entreprises, qui sont le moteur de l économie. S ensuivent des pertes de recettes fiscales et toujours un endettement extérieur croissant et contraignant
L’économie sénégalaise a, certes de bonnes perspectives, mais on doit a la vérité de dire qu’ elle est, pour le moment, a la bourre.
Le rôle de la police financière est avant tout de faciliter la circulation des capitaux et non de fermer les voies de circulation.
A ce sujet, je note que le taux de bancarisation demeure faible, 24 pour cent. C est aussi la faute des banques qui roulent dans une nébuleuse ahurissante. La police financière devrait plutôt s intéresser aux pratiques bancaires et aux abus de faiblesses sur les épargnants.
Ceux là ont bien compris et se sont tournés vers la microfinance. Ce qui a permis un taux d inclusion financière de 80 pour cent.
On fuyait déjà la banque du fait des pratiques bancaires. Maintenant, on évite les banques du fait de la police financière, dont le nouveau commandant est le CENTIF. Qu’ on se comprenne bien!: il faut contrôler, mais il faut pas étouffer!
En somme, il ne faut pas tirer sur l’ambulance! Bien entendu, l ambulance , c est l épargne. Les ambulanciers sont les épargnants.
Toujours attentif à la situation de mon pays.’
Maître Khaly Adama Ndour
Docteur en droit des affaires
Ambassadeur a la retraite
Donc on cautionne les délits dans ce pays on aura tt vu du n’importe quoi, c’est ces même banques qui signalent les virements au Centif 😂 😂 😂 loudoul JuBb JuBb moKo gueun
tu veux que l’on laisse les gens voler et faire leur dictat aux senegalais. A moins que l’auteur soit un voleurs. Seuls les voleurs dependent l’indéfendable.