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Censure du Conseil constitutionnel: "Pastef encaisse une deuxième gifle", selon Thierno Alassane Sall

Le Conseil constitutionnel a partiellement censuré la loi organique modifiant le Règlement intérieur de l’Assemblée nationale, initiée par la majorité PASTEF. Une décision saluée par le député Thierno Alassane Sall, qui y voit un tournant important dans la préservation des équilibres institutionnels.

Dans une déclaration publiée ce jeudi, le président de la République des valeurs dénonce une « volonté manifeste de museler, contrôler et affaiblir les contrepouvoirs, en particulier la justice ». Il salue la décision des sages, qui ont notamment rejeté les dispositions autorisant le recours à la force pour contraindre un citoyen à comparaître ou permettant la convocation des magistrats sans leur accord préalable.

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« PASTEF encaisse une deuxième gifle », affirme Thierno Alassane Sall, rappelant que la majorité avait déjà essuyé un échec avec sa proposition de loi sur l’amnistie.

« Le Conseil rappelle qu’il demeure le rempart face aux excès d’un pouvoir tenté par la brutalité », poursuit-il, avant de regretter que « le rôle du Parlement reste, hélas, subordonné à l’exécutif ».

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Thierno Alassane Sall conclut en assumant son opposition : « C’est pourquoi, je n’ai pas voté cette loi ».

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11 commentaires

  1. Django cisse

    TAS la defaite du toucouleur Maquis Sale te fair toujours mal, on vous comprend vous etes des mechants


  2. Dofull

    T’as del sonko sonko Lou rék dofi am daara te do meusa nék maire baye le n’en imbécile k tu est


  3. Bayefall

    Pastef kayy gathiai minguilendi beugue yoob alakhira. C C dilen dorr di dorrate rekk. Massa lenn.


  4. Blankagiga

    Thierno Alassane Sall, dans un élan de triomphalisme à peine dissimulé, se complaît à annoncer une « deuxième gifle » pour la majorité, se posant en Cassandre infaillible après le rejet d’une proposition de loi. Il se gargarise d’une victoire par procuration, d’un échec parlementaire transformé en trophée personnel. Mais soyons clairs : la seule « gifle » ici, c’est celle que s’inflige à lui-même une opposition qui ne sait exister que par le négatif.

    Son « j’assume mon opposition » sonne comme un aveu de paresse politique. L’opposition, la vraie, propose, construit, débat, même quand elle est minoritaire. Elle ne se contente pas de brandir un « non » stérile comme une bannière de gloire. Se réjouir qu’une loi ne passe pas, c’est le signe d’une vision politique étriquée, où le blocage prime sur l’avancement, et la posture sur la substance.

    Plutôt que de compter les défaites des autres, Thierno Alassane Sall ferait mieux de se demander ce qu’il a concrètement apporté au pays, au-delà de ses analyses de café du commerce et de ses rodomontades. Car à force de se positionner en éternel commentateur aigri, on finit par devenir l’incarnation même de l’inefficacité, et ça, pour un politique, c’est la seule « gifle » qui laisse des traces indélébiles.

    Sénégal sa kanam


  5. Traore

    Ce macacaque politicien est toujours content quand une décision est prise contre pastef mais il ignore que ce projet de modification est parti de l’assemblée donc un revers pour les députés du Sénégal malgré son _de 1% des suffrages


  6. Teguezeu

    Honorable il faut dire que Pastef encaisse une eniéme giffle mais comme ils n’ont pas de vergogne le conseil constitutionnel ne se lassera pas de leur infliger des déculottée


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