Cap Manuel : Décès d’un prisonnier après 6 jours de détention

Cap Manuel : Décès d’un prisonnier après 6 jours de détention

Cheikh Niass, un détenu âgé de 39 ans, provenant de la France,  a rendu l’âme à la prison du Cap Manuel, a-t-on appris, ce jeudi, à Rfm.

Le défunt avait été placé en garde à vue à la police de Wakhinane Nimzat dans le département de Guediawaye avant d’être déferré à la prison du Cap Manuel.

Arrestation

Cheikh Niass a été arrêté pour avoir échangé des propos aigre-doux avec un policier qui l’avait interpellé. Et, il a été  déféré,  il y a de cela 6 jours au Cap Manuel.

Autopsie

Une autopsie est en cours pour y voir plus clair sur les causes de décès.

9 COMMENTAIRES
  • freemaan

    Y a pas à chercher de 12 à 14, c’est un meurtre.

  • diop

    Je pense qu il est temps de fixer une caution pour certains petits delits.
    Rien ne sert d encombrer nos prisons qui déjà souffrent d e surpeuplement

  • FFG

    Tous ceux qui usent de leur pouvoir, oublient que la grande prison arrivera a tous: la tombe là ou le jugement est véridique.

    • Maman

      Li mome on ne doit pas attendre la tombe fi ni l’agneau coye lidieunti

  • moudzo

    Le flic a sûrement des amis matons à qui il a certainement demandé service.

  • Merde

    Pour juste des propos, il devrait être interdit d’envoyer une personne en prison. Une amande financière (salée ou pas) suffit si toutefois les faits sont prouvés.

    C’est n’importe quoi de remplir les prisons parce qu’une personne à crier même sur le président.

  • Ali

    Déferré parce qu’il a mal parlé à un policier ?

    On sait comment sont nos policers sur les routes !

    Nous sommes une république et jusqu’à preuve, on a décidé qu’on respecte les institutions et toutes personne qui travaille dans ces institutions doit être conscient de la responsabilité qu’est la sienne.

    Mais gnou def la policier rec nga fok né tu dois pouvoir engueuler tout le monde. Policier wou sénégal dou faye boko nouyou té bouy bakhak yaw deye melni sa pape

    • Dial

      Vraiment

      • le révolutionnaire

        moi le jour où un parent ou un ami meurt entre les mains des forces de l’ordre, je tuerai un d’entre eux pour vengeance

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