Maintenant, tout le monde s’accorde sur une chose le conflit en cours à Gaza n’est rien d’autre qu’un génocide perpétré par Israël.
Les organisations telles qu’Amnesty International et Human Rights Watch ont exprimé des conclusions similaires et claires , soulignant que les actions israéliennes dans la bande de Gaza répondent aux critères de génocide.
Ces conclusions sont basées sur le nombre considérable de victimes civiles, y compris des milliers d’enfants et de femmes, et sur la destruction massive d’infrastructures civiles, de terres agricoles, et de sites culturels et religieux.
Les chiffres récents, plus de 50 000 personnes ont été tuées, dont au moins la moitié sont des femmes et enfants, et plus de 100 000 ont été blessées depuis le début de l’offensive israélienne.
La situation est encore aggravée par l’usage de la famine comme arme de guerre, avec des restrictions draconiennes sur l’accès à l’eau, à la nourriture et au carburant, affectant la quasi-totalité de la population.
Les observateurs internationaux, y compris des experts de l’ONU, ont dénoncé ces actions comme constituant un crime contre l’humanité, voire un génocide, en raison de l’intention apparente de détruire en tout ou en partie la population palestinienne de Gaza.
Malgré ces graves accusations, la communauté internationale se contente souvent de simples condamnations verbales, sans prendre de mesures efficaces pour mettre fin à ces atrocités.
C’est inacceptable, abominable et amoral. Demain si des illuminés décident de perpétrer des actes terroristes ,condamnables, en guise de représailles, pour dénoncer ce mutisme complice, les condamnations fuseront de partout.
Quand on n’a plus le droit de vivre , on finit par démystifier la mort. Ce génocide perpétré contre la population palestinienne soulève des questions éthiques et juridiques sur l’inefficacité de la communauté internationale à protéger les populations civiles en situation de conflit armé. Du moins quand c’est perpétré par l’état Israëlien.
Pape Alé Niang*