Publicité pour Mesri_Juillet
Publicité

Australie : Inquiétudes autour du chatbot chinois DeepSeek

Le ministre australien de l’Industrie et des Sciences, Ed Husic, a exprimé mardi ses préoccupations concernant la confidentialité des données relatives au chatbot chinois DeepSeek. Il a exhorté les utilisateurs potentiels à être prudents avant de l’installer sur leurs appareils.

Dans une interview accordée à ABC, Husic a déclaré : « Je pense que les gens seront naturellement attirés par cela. Je pense qu’il y aura des parallèles avec les discussions autour de TikTok qui émergeront également autour de DeepSeek. Je ne serais pas surpris si cela se produit. » Il a souligné la nécessité de vigilance alors que la Chine vise depuis des années à se positionner en leader mondial de l’intelligence artificielle.

Publicité

Ed Husic a insisté sur la prudence, déclarant : « Je serais très prudent à ce sujet. » Ce commentaire intervient alors que l’application chinoise DeepSeek, perçue comme une alternative avantageuse à ChatGPT d’OpenAI, suscite des discussions.

Par ailleurs, le président américain Donald Trump a également fait mention de DeepSeek, qualifiant sa montée en popularité de « signal d’alarme » pour les entreprises technologiques américaines. Ce nouvel outil est soutenu par le fonds spéculatif High-Flyer et son modèle, DeepSeek-R1, a été lancé le 20 janvier.

Publicité

Contrairement à ChatGPT, qui demande un abonnement de 200 $ par mois, DeepSeek-R1 se veut entièrement open-source et gratuit, permettant aux utilisateurs un accès sans contraintes. Ce nouvel archivage représente une inquiétude pour les géants technologiques occidentaux.

Ce texte a été adapté d’un article de notre confrère Anadolu, traduit par Sanaa Amir.

Votre avis sera publié et visible par des milliers de lecteurs. Veuillez l’exprimer dans un langage respectueux.

Dans le même thême

Laisser un commentaire