Alioune Tine : “Il n’existe pas de démocratie sans une presse libre et de qualité”

Dans un contexte où le débat sur la liberté de la presse se fait de plus en plus pressant, Alioune Tine a rappelé au Président Diomaye et au Premier ministre Ousmane Sonko que « il n’existe pas de démocratie et d’État de droit sans une presse libre et de qualité ».

Pour le défenseur des droits humains, l’État sénégalais a un rôle central à jouer pour soutenir une presse nationale confrontée à des difficultés économiques, aggravées par les transformations numériques et l’essor de l’intelligence artificielle. « C’est l’état sénégalais qui doit soutenir une presse sénégalaise en crise comme toute la presse mondiale, dont le modèle économique est ébranlé par la bascule numérique, digitale et l’IA », a-t-il expliqué.

Alioune Tine souligne que les acteurs de la presse sont conscients de cette période de transition et ont déjà engagé des discussions avec les autorités publiques. « Ils sont conscients d’être dans une période de transition qu’il faut négocier », insiste-t-il, appelant à la mise en œuvre de l’aide prévue par le budget national et votée à l’Assemblée. « Il faut donner l’aide à la presse prévue par le budget national et votée à l’Assemblée nationale. Et trouver les moyens de leur donner les contrats de publicité ».

Le spécialiste plaide pour un dialogue constructif entre le gouvernement et les patrons de presse afin de prévenir la vulnérabilisation des journalistes. « Éviter la sous-prolétarisation et la vulnérabilisation des acteurs de la presse », affirme-t-il, avant d’ajouter : « Il est tant pour le Président Diomaye et le PM Sonko de s’asseoir avec tous les acteurs et notamment les patrons de presse d’échanger avec eux et d’acter le dialogue et la réconciliation ».

Pour Alioune Tine, cet engagement profiterait à l’ensemble du pays. « Le gouvernement y gagne à tout point de vue en créant un climat médiatique et politique apaisé. Le Sénégal en a bien besoin aujourd’hui ».

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14 commentaires

  1. Monsieur Tine n’a plus les privilèges et autres gratifications gratuites de l’ancien régime. Monsieur Tine voudrait recevoir des subventions de l’Etat sans rendre compte de ses activités ni présenter sa comptabilité. Monsieur Tine est contre une loi sur le financement des ONG intervenant au Sénégal. Monsieur Tine est un ennemi du renouveau au Sénégal. Monsieur Tine doit se taire et disparaître et les organes de presse qui lui donnent l’occasion de diffuser ses sornettes sont complices ou trop polis pour contredire un vieux bavard.


  2. Monsieur tine la démocratie ou un presse libre ne permet pas un ou des journalistes de publier des mensonges aux longueurs de la journée et que leur patron traite un gouvernement de menteur pour le cite nommément MAMADOU IBRA KANE.


  3. Je pense que ce vieux a perdu ses neurones pour ne pas dire certaines de ses facultés.

    Nous parler de presse de qualité dans ce Sénégal de 2025 est une hérésie et une aberration.

     »Le journalisme est l’école de la diplomatie  » Alfred Capus.


  4. Descente muscle sur un plateau de television les armes a la main pour une démocratie cela se passe de commentaires.

    On se souviendra longtemt de cet incident.

    Pastef c’est desormais Gendarmes armes sur un plateau de tele comme si s’etait un coup d’etat.

    On se souvient de des gendarmes et leurs intervention en plein debat a l’assemblee nationale.


  5. Pa une presse qui veut mettre le ko pour ses propres intérêts Tay la aldiouma Setal yalla thie lié gnay wakh même boko guemoul tam gna sett say dôme boko ameee


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