Aïda Mbodj: «Nous voulons un Pds conquérant, attractif, fort…»

Après avoir souligné la similitude de démarche et d’approche avec Modou Diagne Fada, Aïda Mbodj, présidente du conseil départemental de Bambey, dit rester et se battre avec ses frères et sœurs au sein du Pds. Surtout qu’aujourd’hui, explique-telle, «nous avons un parti qui ne bouge pas et dont tout est détenu au niveau central».

Expliquant que le mémorandum a été mis entre les mains du secrétaire général national du parti, Me Abdoulaye Wade, Mme Mbodj qui participait lundi au lancement de la refondation du Pds, a élevé la voix pour dire «qu’on s’arrête».

Aussi exige-t-elle «la restructuration du parti, de la base au sommet pour pouvoir disposer d’un outil fonctionnel, d’un parti conquérant, un parti attractif, un parti capable de nous aider à reconquérir le pouvoir. Mais aussi un parti fort pour qu’on puisse libérer nos détenus».

La présidente du conseil département de Bambey reconnait cependant «la légitime propriété de Me Wade sur le Pds qui a éduqué, élevé dans la démocratie» tous ces responsables politiques.

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