L’ancien député Abdou Sané estime que la société sénégalaise, dans l’une de ses facettes liées à la foi, utilise un vocabulaire social et institutionnel dont les contours restent flous.
« Un certain nombre de termes sont employés pour désigner des individus, des familles ou encore des terroirs, sans qu’on en mesure toujours la portée et les enjeux », explique Abdou Sané.
Face à ces imprécisions, il lance un appel : « Qui peut nous éclairer sur des notions essentielles comme la définition de la laïcité et de la religion au Sénégal ? »
L’ancien parlementaire souhaite également qu’une clarification soit apportée sur le statut et la signification de certaines expressions consacrées. « Que recouvrent exactement les termes chef religieux, famille religieuse et cité religieuse dans notre pays ? », s’interroge-t-il.
Pour Abdou Sané, la compréhension de ces concepts est indispensable à la lecture du rapport entre le religieux et l’État au Sénégal.
N’est ce pas tu étais un député.pourquoi tu ne l’avais pas porter à ton temps
Des notions en apparence simples mais complexes. Sa question recèle chez lui une notion restrictive interrogative face à une multiplicité de réalités distinctes. La Laïcité est le principe de la séparation de l’état et des religions Et d’impartialité à l’égard des confessions spirituelles (la religion est incluse dans la spiritualité au sens large). La Religion désigne la relation entre les êtres humains à ce qu’ils considèrent comme saint, Sacré, Absolu, Spirituel, Divin, digne d’une vénération particulière. Les pratiques dévotionnelles sont multiples : prières, méditations, rituels, contemplatives, etc. Une famille peut être reliée à une même religion/spiritualité ou caractérisée par le pluralisme religieux. Les religions, la société, la culture sont interreliées par des relations dynamiques et complexes dans le tryptique famille, religion/spiritualité et laïcité. Pour le reste à l’auteur de se pencher sur ses propres questions.
Clarifier les choses est toujours souhaitable. Mais il peut y avoir des notions qui ne sont pas définies formellement ou officiellement dont les populations ont une compréhension plus ou moins commune.
Il me semble que c’est notions évoquées par Monsieur Abdou SANE font partie de cette catégorie. Et essayer de clarifier quelque chose déjà claire risque de la rendre obscure.
Clarifier les choses est toujours une bonne chose. Mais il peut y avoir des notions qui ne sont pas définies formellement ou officiellement dont les populations ont une compréhension plus ou moins commune.
Il me semble que les notions évoquées par Monsieur Abdou SANE font partie de cette catégorie. Et essayer de clarifier quelque chose déjà claire peut la rendre confuse.
Merci de prevenir Mr le deputé.Sané.
Monsieur le Président ( Mon President préféré), vous venez de commettre un grave faux pas.
L’État n’a pas à s’immiscer dans le financement des familles religieuses au Sénégal.
Depuis plus d’un siècle, celles-ci vivent comme des sangsues sur le dos de populations démunies. Il est hors de question de remplir leurs coffres-forts avec nos maigres ressources.
D’autres franges de la société, comme les familles pauvres ou les talibés qui dorment à la belle étoile ou survivent dans des maisons de fortune, mériteraient bien davantage ce soutien que l’on jette par la fenêtre.
Ces familles religieuses sont devenues les pourfendeurs de votre politique de rupture, une politique déjà payée au prix de vies humaines.
Vous allez droit dans le mur en réitérant cette promesse de Macky Sall, apprenti tyran, devant des familles religieuses, héritières du système.
L’apprenti tyran qui a laissé les forces de l’ordre et les gros bras de l’APR malmener nos frères de lutte n’etait pas inspiré en promettant d’scheter Leslee des familles religieuses avec nos ressources.
Vous n’avez pas le droit, Monsieur le Président, d’ouvrir une boîte de Pandore qui risque de nous coûter nos maigres ressources.
Les familles religieuses ptofitent de l ‘incredulité des senegalais depuis plus d’un siecle. Votre devoir C’est d’arreter cet abus pas d’y contribuer.
Resoectueysement,
Parle nous de la dette cachée de macky sallle grand kuluna c’est mieux de foutre ton nez la ou tout est claire comme l’eau de roche.