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Voici la liste des membres du nouveau gouvernement en Guinée-Bissau

Le Président de la République de Transition, le Major-Général Horta N’ta, a promulgué le Décret présidentiel n°04/2025, officialisant la formation d’un nouveau gouvernement. Le nouvel exécutif se compose de 23 ministres et 5 secrétaires d’État, regroupant aussi bien des personnalités civiles que des hauts gradés de l’armée, signe d’une volonté affichée de consolider l’autorité de l’État en période de crise.

Parmi les principaux ministres nommés figurent :

  • João Bernardo Vieira, ministre des Affaires étrangères, de la Coopération internationale et des Communautés
  • Brigadier-Général Mamasaliu Embaló, ministre de l’Intérieur et de l’Ordre public
  • Usna António Quadé, ministre de la Présidence du Conseil des ministres et des Affaires parlementaires
  • Carlos Pinto Pereira, ministre de la Justice et des Droits humains
  • Mamadú Mudjetaba Djaló, ministre de l’Économie, du Plan et de l’Intégration régionale
  • Major-Général Stive Lassana Manssaly, ministre de la Défense nationale
  • Comodoro Quinhin Nantote, ministre de la Santé publique
  • Virgínia Mária da Cruz Godinho Pires Correia, ministre des Pêches et de l’Économie maritime
  • Juelma Cubala, ministre de la Jeunesse, de la Culture et des Sports
  • Khady Florence Dabo Correia, ministre de la Femme et de la Solidarité sociale. Les secrétaires d’État nommés. Cinq secrétariats d’État ont également été attribués : Mamadú Baldé, secrétaire d’État au Trésor
  • Elísio Gomes Sá, secrétaire d’État au Budget et aux Affaires fiscales
  • Comissário Principal Salvador Soares, secrétaire d’État à l’Ordre public
  • Contre-Amiral Carlos Alfredo Mandughal, secrétaire d’État aux Combats de la Liberté de la Patrie
  • Pressions internationales et incertitudes politiques. L’installation de ce gouvernement de transition intervient alors que la CEDEAO et plusieurs partenaires internationaux maintiennent leur pression sur les autorités, appelant au retour à l’ordre constitutionnel et à la libération des personnalités arrêtées après la tentative de putsch. Le nouveau cabinet devra ainsi gérer simultanément l’urgence sécuritaire et les négociations diplomatiques, dans un climat national particulièrement instable.

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2 commentaires

  1. C’est st très bien. Quand les civils s’accaparent du pouvoir sans rien apporter de Positif il est opportun que l’armée s’en accapare. La DICTATURE s’installe et finit led élections trop coûteuses sans résultat tangible et finit la corruption et la gestion clanique et familiale du pays. Une leçon a méditer chez nous.


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