« Tremblez, journalistes à la plume trempée dans du vitriol ou à la voix irrévérencieuse ! »
Big Brother est bien là et vous tient à l’œil. Il contrôle vos écrits et vos pensées. Même durant les heures sombres ayant suivi nos glorieuses indépendances, lorsque la chape de plomb du parti unique s’était abattue sur notre pays, les journalistes n’étaient pas aussi pourchassés qu’en cette année de grâce 2023.
C’est dire le grand recul de notre belle démocratie, aujourd’hui si chahutée et malmenée. Le regretté Mame Less Dia ou Less Coura reviendrait au monde, qu’il ouvrirait grandement les yeux en se demandant s’il ne s’est pas trompé de pays face à l’œil inquisiteur d’un pouvoir sur la pensée de ses citoyens.
Le Chef, sa police, sa gendarmerie et ses juges ne rigolent plus. Même ce vilain Kàccoor Bi, au moment d’écrire ces lignes, craint d’être convoqué pour s’expliquer sur ses écrits irrévérencieux. N’en doutons plus, nous ne sommes plus en liberté. Pour la moindre incartade, on risque de rejoindre en prison notre confrère Pape Ndiaye après Pape Alé Niang.
Et dire que le Chef avait juré que, lui président, aucun journaliste ne serait embastillé ! Une promesse jetée aux oubliettes tout comme celle concernant la réduction de la durée du mandat en attendant, sans doute, celle relative au nombre de mandats! En tout cas des journalistes sont convoqués à tout bout de champ pour des broutilles et soumis à des auditions des auditions bidon au bout desquelles, généralement, ils sont placés en garde à vue.
Puis font l’objet d’une valse entre l’enfer de la cave du Tribunal et la géhenne des grilles nauséabondes de nos commissariats de police où le mot humanisme ne fait pas partie du langage. Sans compter que, maintenant, même sur les théâtres des événements, les journalistes sont déguerpis sans ménagement et à coups de grenades lacrymogènes par les policiers et les gendarmes !
Alors que, même sur les champs de guerre, les belligérants respectent toujours le droit de la presse à faire son travail. Hélas, ici, au Sénégal, les forces de l’ordre s’arrogent le droit de les empêcher de travailler ! Bref tous les journalistes, du moins ceux qui ne chantent pas les louanges du Chef, sont en sursis dans ce cher Sénégal !
* KACCOOR BI – LE TEMOIN
vous ne pouvez avoir axé aux micros, aux caméras pour insulter mr le président les membres du gouvernement et la justice sans problèmes tout les journalistes politiciens doivent alles en prison en file indienne à pas cadenassé
Doulnalistes, vous êtes vos propres bourreaux !
Occuper une Fonction dans un Etat Oppresseur
Si soutenir les oppresseurs, même avec un fragment de datte, ou même par le simple souhait qu’ils restent en vie, est une chose contre laquelle les Imams d’Ahl-ul-Bayt ont mis vivement en garde les Musulmans, quel péché impardonnable serait de participer à un gouvernement oppresseur, d’accepter d’y occuper une fonction ou de lui prêter serment d’allégeance, ou pis encore, de faire partie des piliers d’un pouvoir injuste et de contribuer activement à l’installation et à la consolidation de ce pouvoir. Car, comme l’a dit l’Imam al-Çâdeq, « un régime oppresseur, c’est le minage de tout le bon droit, le ravivage total du faux, la résurgence de l’injustice, du despotisme et de la corruption. »
Diarama mister Sow, ils sont tellement forts dans la gueulade et les grosses phrases en essayant de faire genre! Ici en Europe on en rit tellement de ses negres de la plume qui en font dans leur français bidon.
Coopération avec les Oppresseurs
Etant donné la gravité du péché d’injustice et de ses conséquences, Allah a prohibé la coopération avec les oppresseurs.
«Ne vous inclinez pas vers les injustes, sinon vous seriez atteints par le Feu de l’Enfer; ne prenez pas de protecteur en dehors d’Allah, autrement vous ne serez pas secourus» (Sourate Houd, 11:113).
Arrête tes délires Djim.Il y’a aucune oppression au Sénégal. Tu t oppresses toi-même et tes canards sonkolites abrutis dans votre imaginaire quotidien!!! Vas en Guinée et parle comme ton gourou le fait en menaçant Doumbouya, il serait déjà éliminé taf taf. Sois heureux de vivre au Sénégal.
Avez-vous relu votre contribution ?
Si bidon est le français de ce monsieur le votre doit être « mboussou plastique » rires!
Vous avez intérêt à assainir votre milieu au lieu de raconter des inepties