Le président de Guem Sa Bopp, Bougane Gueye Dany, exprime ses félicitations aux médecins sénégalais, notamment le Professeur Alain Ndoye de l’hôpital Le Dantec, pour avoir réalisé la première transplantation rénale dans le pays.
Bougane Gueye Dany annonce également son engagement à prendre en charge ces malades à partir d’avril 2024, avec la création de plus de 100 centres d’hémodialyse à travers le pays. En perspective de futures réalisations dans le domaine de la médecine s’il est élu Président de la République, Bougane Gueye Dany envisage la construction d’un hôpital de simulation à Tivaouane Peulh et la création d’un centre des grands brûlés en lien avec l’exploitation future du pétrole et du gaz au Sénégal. In extenso sa tribune
Une Première au Sénégal :
« Félicitations à nos médecins, le Professeur Alain Ndoye de l’hôpital Le Dantec et les membres de son équipe dont des médecins militaires.
Le peuple Sénégalais est fier de son corps médical qui vient de réaliser une prouesse historique.
Nos médecins viennent de réaliser la première fois au Sénégal la première transplantation rénale.
Un véritable signe d’espoir pour les 910 000 hémodialysés et les 520 000 diabétiques que compte notre pays.
A compter d’avril 2024, ces malades seront totalement pris en charge par l’Etat et plus de 100 centres d’hémodialyse seront implantés partout dans le pays, je prends l’engagement de le réaliser.
Bravo alors au Personnel médical de l’hôpital militaire de Ouakam et de l’hôpital Aristide le Dantec qui viennent de réaliser ce grand succès qui honore toute la nation.
Le corps médical Sénégalais a besoin d’être félicité, encouragé et appuyé par les autorités pour le bonheur des populations.
En avant pour d’autres réalisations dans la médecine.
C’est d’ailleurs pour cette raison que j’ai décidé, après ma victoire au soir du 25 février prochain de la construction d’un hôpital de simulation à Tivaouane Peulh pour former 10 000 spécialistes de santé à travers le programme de santé adapté aux connaissances scientifiques actualisées (Sacsa).
Avec l’exploitation prochaine du Pétrole et du Gaz au Sénégal, je m’engage à construire un centre des grands brûlés qui n’existe toujours pas chez nous.
Aujourd’hui, aucune structure hospitalière au Sénégal ne dispose de matériel adéquat pour la prise en charge des grands brûlés.
Ce qui constitue un grand danger pour notre pays.
La santé, ce n’est pas un privilège mais un droit pour toute sénégalaise et tout sénégalais. »