« S’il y a un pays qui souffre d’une bonne partie de sa presse, c’est bien le Sénégal… »

« Après son meeting « Ndiaga Ndiaye » d’il y a quelques semaines, et le bétail politique qu’il avait mobilisé à l’occasion de la tournée « économique » du président de la République à Thiès, Abdoulaye Dièye, le directeur général de l’AIBD (Aéroport international Blaise Diagne), ne se sent plus…« , affirmait « Le témoin », dans un article titré « Un farceur nommé Abdoulaye Dieye ». La réplique ne s’est pas fait prier…

Texte, in extenso :

S’il y’a un pays qui souffre d’une bonne partie de sa presse, c’est bien le Sénégal. En attendant que l’espoir de la voir se débarrassée de ses éléments parasitaires devienne une réalité, il y’a lieu de tirer la sonnette d’alarme afin que certaines bassesses qui écornent l’image, peu reluisante, de la presse cessent. Dans son édition de ce jour à travers un article non signé, sans doute à cause d’une lâcheté manifeste, ce canard décadent représentatif de la racaille de la presse écrite sénégalaise à cru devoir tenter de clouer Abdoulaye Dieye en le qualifiant de farceur.

Concèdons au Témoin d’avoir la propension maladive à user et abuser du sensationnel faute d’avoir des sujets instructifs et constructifs à proposer aux sénégalais comme les organes de presse crédibles savent le faire. Toutefois la plaisanterie de mauvais goût consistant à remettre en cause la représentativité politique d’Abdoulaye Dieye ne peut que relever d’une mauvaise foi. Elle a néanmoins le mérite d’edifier l’opinion sur une évidence: « Le Témoin » est le symbole achevé de la racaille définie comme la partie la plus abominable d’un groupe.

Il ne peut être composé que par des aventuriers à l’intellect limité et à la morale douteuse pour faire des productions digestes sans porter atteinte à l’honorabilite de paisibles citoyens. Contrairement ce que  » Le Témoin » foncièrement partisan veut faire croire, Abdoulaye Dieye est le symbole achevé de la persévérance, du sérieux, de la rigueur et de la compétence. Tant au plan professionnel que politique. Que dire de sa générosité débordante qui avait valu à son entreprise de se faire distinguer par le MEDES dans le cadre de La Responsabilité Sociétale d’Entreprise ( RSE). Lorsqu’Abdoulaye Dieye mettait sur pied une entreprise de Transit et de Consignation avec un chiffre d’affaires de 8 milliards, nul n’imaginait qu’il s’engagerait en politique. Au sens noble du terme.

Il n’a pas une perception mercantiliste du pouvoir. Le poste de directeur général de L’AIBD auquel il vient d’être promu est le couronnement logique de ses compétences et des vertus cardinales qu’il incarne en tant que fils de la localité aux deux gares. Il ne le perçoit pas comme une prébende ni comme une sinécure. Il l’appréhende plutôt comme un moyen d’apporter sa pierre à l’édification d’un Sénégal prospère. Prétendre le contraire ne peut que relever d’un acharnement bête, méchant et gratuit.

Une question qui ne souffre d’aucune impertinence…

Depuis quand cela constitue un délit pour une personne majeure vaccinée, responsable et surtout valeureuse de se tracer un chemin politique, de l’emprunter et de se donner les moyens de d’atteindre le bout?  » Le Témoin » qui devait être un vecteur de la démocratie en est devenu le fossoyeur. Telle est la rançon d’un combat qui n’est ni idéel ni principiel mais personnel contre un citoyen émérite, symbole vivant d’une région chargée d’histoire écrite par sa vaillante population.

Non  » Le Témoin »!. Tu as à tout faux, tu es de mauvaise foi, tu es un manipulateur hors pair tu es un nihiliste doublé d’un obscurantiste. Abdoulaye Dieye est tout sauf un farceur.

* Par Ibrahima Ngom

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