À l’occasion de la Journée mondiale du souvenir des victimes d’accidents de la route, commémorée ce mardi 25 novembre 2025, le ministre des Transports terrestres et aériens, Yankhoba Diémé, a pris la parole. Il a souligné que cet événement est un moment où « la Nation s’arrête, se souvient, réfléchit et renouvelle son engagement ».
Selon les informations rapportées par le journal Sud Quotidien, le ministre a mis en avant le lourd tribut humain des accidents, déclarant que « derrière chaque statistique, il y a un nom, un visage, un sourire, une ambition fauchée ». Le thème de cette année, « Talent perdu », a été choisi pour symboliser ces « vies brisées », incluant élèves, travailleurs, parents, artistes ou encore chauffeurs, dont les destins ont été interrompus.
Yankhoba Diémé a rappelé que cette problématique a été un point central lors des États généraux des transports publics. « Oui, notre pays souffre de trop d’accidents. Oui, nous devons moderniser nos textes, nos pratiques et nos contrôles. Oui, nous devons transformer durablement nos comportements », a-t-il affirmé. Cette prise de conscience répond à des préoccupations citoyennes récurrentes concernant l’état des infrastructures, où le sentiment de danger est parfois palpable sur certains axes routiers.
Face à cette situation, le gouvernement a fait de la sécurité routière une « priorité stratégique ». Selon le ministre, le Président Diomaye Faye a établi comme principe que « une vie sauvée vaut plus que n’importe quel investissement ». Dans cette optique, le Premier ministre Ousmane Sonko a chargé le ministère des Transports de présenter un plan d’action national opérationnel et chiffré avant la fin de l’année 2025, basé sur les recommandations des États généraux.
Cette nouvelle stratégie gouvernementale s’articule autour de trois axes principaux. Le premier vise à accélérer les réformes, notamment par la digitalisation et l’application stricte des normes de sécurité. Le deuxième axe se concentre sur l’intensification de la prévention de proximité, en ciblant les écoles, les gares routières et les zones rurales. Enfin, le troisième point porte sur le renforcement de la coordination entre les forces de sécurité, les collectivités, les services de santé et les opérateurs de transport.
Une mesure concrète de cette politique est la modernisation du Code de la route. La partie réglementaire, qui compte près de 500 articles, devrait être finalisée d’ici fin 2025. Par ailleurs, un décret présidentiel a déjà été signé pour relever au niveau maximal les sanctions pour sept comportements jugés les plus accidentogènes, tels que l’excès de vitesse, l’usage du téléphone au volant, les dépassements dangereux ou encore le non-port du casque.

Vous nous faites rire et pleurer en même temps.
Vous les doulkats de politichiens vous faites du surplace depuis 1960. Nous savons tous que la gendarmerie et la police en complicité avec tout les gradés de leurs corps respectifs rançonnent les usagers de la route au détriment de la sécurité routière. A un moment le plus gradé de la gendarmerie l’a reconnu publiquement que l’argent récupéré sur la route servait de caisse de roulement pour ne pas dire que chaque gendarme qu’il soit sur la route ou dans un bureau percevait quelque chose.
Si vous voulez vraiment régler le problème du carnage routier enlever l’autorité aux hommes de tenues de faire des contraventions. Faites usage a l’électronique qui ne peut pas être soudoyer.
Visites techniques et permis achetés, 1000 pour que la police et la gendarmerie ferment les yeux sur tout ce qui est normal.
Doul rek. Ce matin vous déplacez une brique d’un mètre, demain vous remettez la brique à sa place. Et a chaque fois vous sortez les hauts parleurs pour nous parler de nouveau plan qui va changer notre quotidien pendant que la route a remplacé l’ange de la mort depuis bien longtemps. Aillez le courage de nous dire que vous n’avez pas de solution car vous êtes des menteurs éhontés et que le Sénégal n’est pas votre souci, que seul le titre de ministre ainsi que l’argent et les privilèges vous inspirent.