Fadilou Keïta, le Directeur général de la Caisse des Dépôts et Consignations (CDC), a publié des déclarations virulentes sur les réseaux sociaux visant l’ancien président Macky Sall et son entourage. Il qualifie ces derniers de « malfrats indignes » et appelle à des poursuites judiciaires fermes à leur encontre.
Selon les informations rapportées par Emedia, la sortie de M. Keïta fait suite à l’actualité politique récente, notamment la fuite du journaliste Madiambal Diagne. Le DG de la CDC établit un parallèle entre cette situation et un souvenir des larmes de Macky Sall devant Serigne Bara Mbacké, qu’il interprète comme une manifestation de la « peur panique d’aller en prison ». Il oppose ce qu’il décrit comme le comportement de « malfrats indignes » au courage de la jeunesse sénégalaise, qui a « fait face à la mort et à toutes formes d’atrocités en assumant ses responsabilités ».
Fadilou Keïta perçoit également les récentes interventions médiatiques de Robert Bourgi et du journaliste Cheikh Yérim Seck comme des manœuvres annonçant un retour de Macky Sall sur la scène publique. Ces prises de parole, qu’il qualifie de « contrevérités racontées sous la forme la plus ostentatoire », illustreraient selon lui l’urgence pour l’État de rompre avec une « culture du mensonge ». Ces événements s’inscrivent dans un contexte de débats enflammés au Sénégal concernant l’ancien régime.
Dans sa publication, le Directeur général de la CDC appelle à une réévaluation de plusieurs dossiers emblématiques de la présidence de Macky Sall. Il cite notamment les affaires PETROTIM, ARCELOR MITTAL, ainsi que les événements politiques survenus entre 2021 et 2024. Pour Fadilou Keïta, ces dossiers devraient amener l’ancien chef de l’État à répondre de ses actions devant la justice.
Il va plus loin en réclamant la saisie de l’intégralité du patrimoine de Macky Sall, de son épouse, de ses enfants et de toutes les personnes suspectées d’être ses prête-noms. Il conclut sa déclaration par un appel à une action rigoureuse : « Lui et ses acolytes doivent être traqués avec la plus grande fermeté ».
C’est à n’en pas douter le monde à l’envers ! C’est un militant et responsable de PASTEF qui ose taxer leurs victimes de malfrats. Des moins que rien qui ont jeté des cocktails Molotov dans un bus, qui ont saccagé les stations du T. E. R et du B. R. T, qui ont mis des magasins Auchan à sacs, qui ont saccagé et pillé des stations d’essence, qui ont incendié des maisons d’honnêtes citoyens, qui ont incendié un dépôt de bus, qui sont montés sur les tables de l’assemblée nationale et qui ont emporté avec eux l’urne devant recueillir le suffrage des parlementaires, sans oublier le micro arraché. Des énergumènes qui voulaient s’attaquer aux installations de la S. D. E et de la S. E. N. E. L. E. C, qui avaient nourri le projet macabre de marcher sur le palais pour y déloger son locataire légitime, des gens qui ont saccagé les facultés de médecine de lettres, de droits et de sciences de l’université de Dakar, des gens qui ont saccagé et incendié la bibliothèque universitaire mais aussi le C. E. S. T. I… Voilà de tels individus qui ont le culot de taxer des gens de malfrats. Et dire que cette liste est loin d’être exhaustive.
Ya plus de malfrats qui vous soutiennent aussi
Le véritable malfrat c’est toi imbecile
MERCI MR KEITA LE BOUCHER DE MARRAKECH ALIAS NDAFFA DOIT ETRE EXTRADE ET JUGE AINSI QUE TOUT SA FAMILLE MAKI SALL UN VRAI DOMERAME