Scandale Dubaï Porta Potty : And Sam Djikko Yi brise le silence

43 filles sénégalaises sont citées dans l’affaire Dubaï Porta Potty. Il s’agit d’une affaire d’enrichissement dégueulasse d’influenceuses par d’abjects millionnaires. Face à cette situation scandaleuse, Ababacar Mboup,  coordonnateur du collectif « And Sam Djikko Yi demande à la société sénégalaise de s’interroger sur cette affaire.

« D’un point de vue en fait global, la société sénégalaise devrait, en réalité, s’interroger sur ces scandales qui se déroulent tout au long de l’année. Chaque scandale étant beaucoup plus ignoble que le précédent. Il ne faut pas se voiler la face. La société sénégalaise est en train de dériver.  Aujourd’hui tout tourne autour de l’argent. On voit que dans la famille c’est l’argent qui prime sur tout. Dans la société, et même dans la religion, l’argent qui prime sur tout. Ça pousse la jeunesse à utiliser tous les moyens pour obtenir de l’argent« , a déclaré Ababacar Mboup sur la Rfm.

Le coordonnateur du collectif « And Sam Djikko Yi invite les Sénégalais à faire leur introspection. « Les  responsabilités sont partagées. Tout le monde est responsable. On ne peut pas réformer l’âme des hommes par décret. Il ne s’agit pas d’en parler tout simplement comme ça, ou de dénoncer ces actes pour que les choses changent. On devrait revoir cette société. Les Sénégalais, dans leur ensemble, doivent se regarder dans la face. Il faut repenser l’éducation de la jeunesse.  Cette jeunesse est en train de nous échapper« . 

Le scandale de « Dubaï Porta Potty »

Sur la toile, des témoignages et des vidéos complètement ahurissants ont surgi. Des influenceuses qui acceptent des pratiques sexuelles inimaginables pour de l’argent. Ces pratiques que l’on pensait sporadiques sont en fait une mode dans la ville censée avoir des règles religieuses strictes. Comme quoi, au royaume de la luxure, il n’y a pas de places pour la religion y compris chez les plus stricts. « Dubaï Porta Potty » (Un terme qui désigne des toilettes portables) désigne un ensemble de pratiques que les influenceuses et d’autres jeunes femmes font en échange d’argent ou de cadeaux.

C’est assez dégueulasse, mais ces femmes laissent des hommes visiblement très dérangés faire leurs besoins (pipi et caca) sur leurs faces en échange de sacs, chaussures et autres objets de valeur.

3 COMMENTAIRES
  • ibrahima

    Ça ne représente qu’une infinie partie des imbéciles sénégalais il faut éduquer nos enfants à cultivé les bonnes valeurs vs verrez jamais des tunisiens des marocains voir des algériens

  • malick

    Et c’était la partie visible de l’iceberg ????

  • Mamadou Dieng

    Il est donc capital et vital que soient identifiées ces 43 femmes maudites pour ARRETER NETTE LA GANGRÈNE. Ces « êtres » ne doivent pas se fondrent dans la masse et proliférer l’ignominie parmis la population saine dont on a le DEVOIR DE PROTE TION.!

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