Ratage d’atterrissage forcé de l’hélicoptère qui transportait le ministre ivoirien de la Santé…

Ratage d’atterrissage forcé de l’hélicoptère qui transportait le ministre ivoirien de la Santé…

Un hélicoptère transportant le ministre ivoirien de la Santé et Président du Conseil régional de Grand Bassam a fait un atterrissage forcé, suite à des ennuis mécaniques. Bilan: aucun mort et des blessés évacués aux urgences hospitalières

Confidentiel Afrique a appris de sources autorisées ce samedi 24 octobre, qu’un hélicoptère a failli s’écraser aux environs de Grand Bassam, pour des ennuis mécaniques. D’après des sources aéroportuaires parvenues à Confidentiel Afrique, ce ratage d’atterrissage forcé a fait des blessés légers dans la zone de Grand Bassam.

Parmi les passagers à bord de cet hélicoptère, on parle du Président du Conseil Régional de Grand Bassam et actuel Ministre de la Santé du gouvernement d’Ahmed BAKAYOKO. Plusieurs sources avaient laissé entendre que Adama BICTOGO, devait en principe faire partie de ce vol. C’est seulement à la dernière minute, que le faucon Adama BICTOGO a décidé de renoncer à ce voyage de campagne politique.

Depuis quelques jours, les routes sont coupées par les manifestants des villages de l’intérieur, contraignant les partisans du Président Alassane Ouattara à se déplacer par hélicos et petits avions oiseaux de 10 places.

Confidential Afrique

1 COMMENTAIRES
  • Elisée G.

    Hélicoptère immatriculé TY-ABC ( La vraie information)

    Le journaliste a indiqué que son enquête a permis de savoir comment l’hélicoptère a été détourné subtilement une fois acquis. Selon les explications du conférencier, tant que l’hélicoptère volait juste pour les déplacements du président Boni Yayi, tout le monde tirait son compte. Dans le même temps, la Sobeh continuait à louer des hélicoptères et à payer des sommes faramineuses. Il fait remarquer que l’hélicoptère Ty-Abc n’a volé que 293 heures. Le 26 décembre 2016, il finit dans un crash au stade Atchoukouma de Djougou avec à bord le Premier ministre d’alors Lionel Zinsou. Pour lui, ce crash apparaît comme le résultat de l’amateurisme qui a caractérisé la gestion de l’hélicoptère. L’enquête ouverte n’est toujours pas bouclée. La raison, c’est que jusque-là, la boîte noire n’est pas encore décryptée. Il rappelle que la Sobeh n’a daigné payer même les trois mois d’arriérés de salaire qu’elle prétend devoir. Pourtant, la compagnie d’assurance Nsia lui a déjà payé 7,18 milliards pour les frais de dédommagement depuis mars 2016.

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