« Pour une relance économique urgente : Agir vite et maintenant pour sauver le Sénégal… », (Bougane Gueye)

Depuis la déclaration aux allures de résignation voire de capitulation du Président Diomaye Faye évoquant des marges de manœuvre budgétaire quasi inexistantes, les Sénégalais ont décelé la portée de la gravité de la situation financière chaotique du pays.
La nécessité d’une relance économique n’est plus une option : elle est une exigence vitale pour des millions de goorgorlous broyés chaque jour par une conjoncture sociale et économique suffocante.
Dans ce contexte critique, les regards se tournent légitimement vers le ministre de l’Économie, le Dr Abdourahmane Sarr devenu aphone depuis sa nomination.
Car s’il y a bien un moment pour anticiper, innover et agir, c’est ici, maintenant et sans aucun délai.
Plusieurs secteurs stratégiques sont à l’arrêt ou en grande difficulté : pêche, tourisme, agriculture, BTP, secteur informel, médias et j’en passe.
Le pouvoir d’achat s’effondre, le chômage des jeunes qui touche près de 60 % des 15-35 ans explose, et le pays manque cruellement de perspectives concrètes engendrant un regain prévisible de l’émigration irrégulière.
Le désespoir, la résignation et le marasme s’installent.
Pourtant, le Sénégal a déjà surmonté des tempêtes notamment des Crises économiques, des tensions politiques, des instabilités régionales…
À chaque fois, notre peuple a résisté avec honneur et dignité.
Mais cette fois-ci, la crise est plus insidieuse, plus systémique, et plus profonde.
Elle ne peut être affrontée avec les recettes du passé.
Il faut des réponses concrètes et courageuses, à la hauteur de l’urgence à tout point de vue.
Le Plan Sénégal 2050 est, certes, un cap ambitieux mais, osons le dire, avant de promettre un avenir glorieux, il faut d’abord sauver un présent en péril. 2026 est déjà à nos portes, bientôt deux ans de pouvoir Pastefien, et le quotidien des Sénégalais devient chaque jour plus invivable.
Aucune politique d’émergence ne peut se bâtir sur les ruines d’une économie en lambeaux.
La Tabaski, samedi prochain sera un test brutal.
Elle révélera de manière crue le degré de souffrance et de résilience de nos familles, confrontées à la flambée des prix des moutons, à la précarité des revenus, à l’absence de ressources.
En 72 heures, c’est clair, rien ne peut être fait pour sauver la fête.
Il faudra cependant affronter, le désespoir d’un peuple qui avait tant misé sur le changement. Cette détresse risque d’alimenter une instabilité sociale aux conséquences incalculables.
Le Dr Abdourahmane Sarr est désormais au cœur des attentes nationales. Son leadership et sa responsabilité sont appelés à faire la différence.
Il lui revient de formuler un plan de sauvetage économique audacieux, réaliste et résolument ancré dans les potentialités réelles du Sénégal.
Son premier acte doit être fort : simplifier les procédures d’investissement, et surtout apurer les arriérés de paiement de l’État envers les fournisseurs pour restaurer la confiance du tissu économique.
Après un dialogue politique réservé aux élites politiques partisanes, l’heure est venue de convoquer un Dialogue Social National pour la relance de l’économie dans son ensemble.
Le ministre doit associer les syndicats, le patronat, les PME, les artisans, les acteurs du secteur informel et la société civile autour d’un Pacte National pour la Relance (PNR), inclusif et engageant.
Cette relance ne pourra se faire sans une communication transparente et rigoureuse.
Le ministère de l’Économie devra publier, chaque mois, des indicateurs de relance clairs et accessibles (emplois créés, inflation maîtrisée, investissements relancés) pour permettre aux citoyens de suivre, comprendre et juger les avancées.
Le Dr Sarr devra incarner une vision, porter un cap, et mobiliser la nation autour d’un projet économique par et pour les Sénégalais.
Relancer l’économie, ce n’est pas seulement injecter des fonds : c’est aussi mobiliser l’intelligence collective, miser sur les talents, remettre l’humain au cœur de la gouvernance. Le Sénégal regorge de ressources humaines, naturelles, créatives. Il faut un État stratège, une gouvernance agile, et des actes concrets.
Cette Tabaski 2025 doit marquer un tournant. Non pas comme le symbole d’un échec collectif, mais comme l’étincelle d’un nouveau départ. Il ne s’agit pas de faire oublier les failles du régime Diomaye-Sonko, mais d’éviter qu’elles ne deviennent structurelles.
L’urgence est totale mais l’espoir est encore permis à condition que des décisions fortes, structurantes et immédiates soient prises. Le destin économique du Sénégal se joue maintenant.
Le peuple attend.
Le monde vous regarde
L’histoire retiendra. Il faut agir et cesser de rugir.
Bougane Guéye Dany
Mouvement Gueum Sa Bopp « les Jambaars »
Il a certainement payé la consultation. Bougane n’a pas ce niveau . Il a un quotient intellectuel très faible .
😂Rugir… c’est ce que tu as fais dès l’avènement du nouveau régime pour prétendre air maintenant. Tu sens que les choses bougent actuellement malgré tes vœux d’échec du pouvoir. Tu commence à comprendre que s’opposer ce n’est pas desinformer mais dénoncer et reconnaître que la situation économique héritée de l’ancien régime demande un engagement patriotique et républicain aux côtés de ce pouvoir qui est en train de relever le défi certes difficile du redressement économique et social de ce pays. pays.courageuseomp
Encore lui, dans le tapage et le tintamarre habituels. Une toile d’araignée d’imbrications nébuleuses, d’élucubrations, d’arguties, une propension à jeter l’anathème dans la confusion totale. Non, du calme et de la sérénité plutôt que la fuite effrénée en avant dans le bouillonnent et le désordre. Une démocratie repose sur des valeurs, des aptitudes, des attitudes et une compréhension critique de soi et de la réalité objective ambiante. La hâte est mère d’échec. Les choses ne viennent pas du jour au lendemain comme par enchantement. Un monde nouveau a besoin d’hommes nouveaux et des idées nouvelles. Ils sont à l’œuvre par la volonté du peuple et déploient une inflexible et lucide volonté méthodique : faire le point de l’état des lieux, mettre un terme aux abus multiformes de prédation sans précédent subie, démêler les nœuds, s’attaquer aux défis en établissant des priorités, asseoir une bonne gouvernance, organiser des concertations au-delà des clivages et concevoir les bases d’un sain renouveau dans une démarche consensuelle, collective, inclusive, éclairée et ouverte sur l’Afrique et le monde. Le développement économique ne vient d’un coup comme vous semblez le croire mais le fruit d’un travail mûri, patient, résilient, pluriannuel, à court, moyen et long terme. C’est dans la sagesse qu’on pose les fondations, aurore de la grandeur et de la félicité. Il faut arrêter l’intox et ce ton alarmiste constant tendant à jeter l’opprobre et le discrédit à des fins inavouées..
Non celui-là il amuse la galerie
Eupeuteleuw !!! Bougane a encore déculotté la bande d’imbéciles nullards et de violeurs qui nous gouverne ! Un upercut de TAS à droite avant le dogali de Bougane à gauche. Euskeuy ! C’est le MOSS DEM en téléchargement…
J’ai hâte qu’il ait des élections pour rappeler à ces gens du système qu’ils ne représentent rien et qu’ils sont des moins que rien. Je dis bien des moins que rien.