PJF : Découvrez pourquoi les ordinateurs offerts par les États-Unis ont été mis de côté

Offerts par l’ambassade des États-Unis à Dakar, les trente ordinateurs destinés au Pool judiciaire financier (PJF) ne seront finalement pas utilisés. L’institution judiciaire a préféré jouer la carte de la prudence face à des soupçons portant sur la fiabilité du matériel.

Selon L’Observateur, la ministre de la Justice, Yassine Fall, a expliqué cette décision en réponse à une question écrite du député Guy Marius Sagna. « Ayant reçu des alertes de certaines structures étatiques, notamment la Délégation nationale au renseignement (DNR), les responsables du PJF ont préféré ne pas faire usage de ces machines », a-t-elle indiqué.

Le parlementaire avait exprimé ses inquiétudes, estimant que l’acceptation de ce don pourrait porter atteinte à la souveraineté numérique du Sénégal et menacer la sécurité nationale.

Dans sa réponse, la Garde des Sceaux a toutefois précisé que la Direction de la dématérialisation et de l’autonomisation (DDA) du ministère de la Justice avait procédé à une vérification technique sans déceler d’élément suspect. Malgré tout, les autorités judiciaires ont décidé de mettre les ordinateurs de côté, dans l’attente d’éclaircissements supplémentaires.

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8 commentaires

  1. Thiakhane bakhoul niou mayla ngani liniouma maye bakhoul tèkklo ci mbèdami pourquoi niou dieul khalissou américain yi plusieurs fois kènna wakhoul tèuye niouye wakh ay wakhi ordinateur ngourgui khamoul dara


  2. Je penses que pour les affaires sérieuses comme la justice, la sécurité, les impôts les finances…. on doit acheter nos équipements tel que ordinateur et autres. Les dons d’ordinateurs doivent aller aux étudiants élèves enseignants…


    • Demande à Maquis de ramener l’argent ainsi que son guewuéle ,Lat Diop aussi et mafiabal comme on pourra acheté des ordi.


  3. Même mon commentaire sur cette affaire (banale)mais relevant de notre sécurité est inapproprié .

    Il y a des #infos# à ne pas relayer.

    Neklen nitt


  4. Pourquoi étaler cette affaire dans la place publique ?

    Les questions de sécurité et de souveraineté se traitent sans état d ame ,sans publicité.

    Bayilen thiakhane.

    Une personne m offre un cadeau, j ai des doutes, je le mets de côté sans commentaire.


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