Parti Socialiste : « Journée du souvenir » en hommage à Senghor les 20 et 26 décembre 2020
Le Parti Socialiste (PS) va renouer avec sa tradition. Il annonce la tenue d’une journée du souvenir les dimanche 20 et samedi 26 décembre 2020.
Le samedi 26
Cette 19è édition donnera l’occasion aux cadres, membres du bureau politique, aux responsables et militants ainsi qu’aux invités, l’opportunité de revisiter l’œuvre et la pensée du Poète-Président, au cours d’un colloque en webinaire, prévu le samedi 26 décembre et portant sur le thème : « Le Socialisme démocratique et le dialogue dans la pensée de Senghor ». Ce colloque, ouvert à 11 heures par Mme Aminata Mbengue Ndiaye, est décliné en deux panels. Il sera introduit par Mamadou Faye, ancien ministre, membre du bureau politique et le Professeur Amadou Ly.
Le dimanche 20
Bien avant ce colloque, le dimanche 20 décembre, une gerbe de fleurs sera déposée à 10 heures sur la tombe du défunt président, par Madame la Secrétaire Générale du parti, au cimetière de Bel-Air. Une délégation du PS assistera aussi à la Messe d’anniversaire, renseigne le communiqué parvenu à Senego.
senghor et un vaut rien un traitre il sacrifier notre pays pour son propre interet il ne merite rien pas ca les politiciens vous ette des hipocrite
Ti a parfaitement raison il a bousillé c pays pour l’intérêt de la france
Vous insultez la mémoire du Président Senghor qui était bien au dessus de tous ceux qui lui ont succédé.C’était d’un niveau trop haut pour que vous puissiez le percevoir.Fermez la et écoutez si vous voulez apprendre pour ne pas mourir idiots!
acceptez quand même que Senghor a bâti un État et une nation solidaire. ce n était pas évident. Son action a hissé le pays à un certain niveau. Je trouve la communication des socialistes sénégalais insuffisante. On évoque rarement les longues années de chasseresse qui n’ont pas permis au régime social de réaliser des projets qui relèvent de la folie de grandeur. A l’époque il fallait des forages des dispensaires et de l aide alimentaire aux populations. Durant ces années terribles, les salaires ont été toujours payés à temps alors que dans les autres pays du sahel, on y pensait même pas